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Prouvez que le deuil fait sombrer le héros du conte «la morte» dans le désespoir, autant lorsqu'il est chez lui que lorsqu'il passe la nuit dans le cimetière

Publié le 23/05/2020

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MAUPASSANT (GUY DE) Écrivain français né près de Dieppe en 1850, mort à Paris en 1893. Ce disciple de Flaubert, au long de sa brève carrière, se révéla un artiste fécond, aux talents multiples, capable de faire alterner l’émotion sobre (Une vie, 1883), l’âpreté glacée d’un être odieux (Bel Ami, 1885), l’ironie joyeuse (Mont Oriol, 1887), le pessimisme (Pierre et Jean, 1888) et la hantise du néant (Fort comme la mort, 1889). Il fréquenta Alphonse Daudet, Tourguéniev, les Concourt, Huysmans... Outre ses romans, il publia quelque trois cents nouvelles dont Boule de suif (1880), Mademoiselle Fifi (1882), Les Contes de la bécasse (1883). La syphilis, ajoutée à une maladie nerveuse héréditaire, le mena à la folie, et il finit la dernière année de sa vie dans la clinique du docteur Blanche où, avant lui, Gérard de Nerval avait fait plusieurs séjours.

« SUJJET:«prouvez que le deuil fait sombrer le heros du conte«la morte» dans le dédespoir, autant lorsqu'il est chez lui que lorsqu'il passe la nuit dans le cimétère» Introduction Guy de Maupassant est un auteur du XIXe siècles, connu pour avoir marqué la littérature française par sws nouvelle parfois intitulées contes.

ces oeuvres retiennent l'attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s'en dégage le plus souvent.

En créant le mystère et l'angoise tout en nous faissant penser à la faissabilité de ce chose par l'instrusion du surnaturel dans un cadre réaliste.

Dans la nouvelle «la morte», de la partie «Contes Fantastique» du contes PARISIENS, NORMANDS ET FANTASTIQUES , Guy de Maupassant, le deuil fait sombrer le personnage du conte dans le désespoir, autant lorsqu'il est chez lui que lorsqu'il passe nuit dans le cimetière.

En effet, en lissant l'extrait, on s'apperçoit que les obsèques de la femme du personnage lui plonge dans une affliction lorsqu'il est dans sa maison.

Toutefois, la présence du personnage dans le cimetière n'arrange pas le chose, il coule dans une angoise profonde lorsqu'il est dans ce lieu. Développement Idée princip1: D'une part, en lissant l'extrait, on s'apperçoit que la mort de la femme du personnage lui plonge dans une affliction quand il est chez lui.

Idée second1: D'abord, l'homme est tellement bouleversé par la mort de sa femme qu'il est prêt à mettre fin à sa vie.

On le constate dans cette phrase: «Quand je revis ma chambre, notre chambre, notre lit, nos meubles, toute cette maison[...], je fus saisi par un retour de chagrin si violent que je faillis ouvrir la fenêtre et me jeter dans la rue.» on constate la personnification du mots chagrin, l'auteur présente le chagrin avec un caractère humain, celui de saisir l'auteur, cela montre le pouvoir que le chagrin à sur lui, en lui presentant comme un adversaire qui a la capacité de lui maitriser, de lui prendre de façon à pouvoir le pousser à se suicider.

ceci est soutenu par une gradation de courtes phrases (chambre,lit,meubles,maison), qui ilustre le desespoir que l'auteur resent au contacte de ce qui l'entoure chez lui.

( 1ÈRE) Idée princip2: Ensuite, on remarque que le mari se jete dans une forme de tribulation.

En effet, il y a la presence d'un champs lexical du désespoir, qui conprend le mots ayant une forte valeur affective (chagrin,torture,douloureux,souffrir) montrenrt clairement les désespoir qu'eprouve l'homme.

(2Ieme)idée princip2: Ensuite, le mari se sent pas confortable lorsqu'il est chez lui parce qu'il a l'impresion d'être hanté par cette femme.

En effet, il y a une forte presence de champs lexicale du corps de la femme qui contient des mots tels que «sa chair, son souffle, coifure, son image,tête» et du champs lexical de contenir «enfermé,abritée,garder,contenu» montrent que l'homme a vraiment l'impression de resentir son epouse est vivante, quelle est présente dans chaque recoin de la maison, cela lui tourmente énormement. Idée princip2: D'autre part, la présence du personnage dans le cimetière n'arrange pas le chose, il coule dans une angoisse lorsqu'il est dans ce lieu.

Idée second1 : Évidemment, le personnage eprouve le desespoir lorsqu'il est dans le cimétière.

on constate le champs lexicale du desespoir. »

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