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Pollack Sydney

Publié le 07/12/2021

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Pollack Sydney Cinéaste américain

 

* 1.7.1934, South Bend, Indiana

 

Au cours des années 60, Pollack s'impose comme l'une des figures éminentes du renouveau du cinéma américain. Capable de tourner de grands films romanesques (\"Propriété interdite\", 1966), des westerns atypiques (\"Les chasseurs de scalps\", 1968 ; \"Jeremiah Johnson\", 1972), des films de guerre (\"Un Château en enfer\", 1968), des adaptations littéraires (\"On achève bien les chevaux\", 1969), il fait avec brio le tour des grands genres cinématographiques. Son inspiration se révèle moins flamboyante à partir de la fin des années 70, même si la comédie \"Tootsie\" (1982), dans laquelle il travestit Dustin Hoffman en femme, témoigne d'une grande virtuosité. L'acteur favori de Pollack est Robert Redford, qui interprète généralement dans ses films des personnages farouchement individualistes à la recherche d'une innocence perdue : trappeur solitaire dans \"Jeremiah Johnson\" (1972), Redford est un champion de rodéo fuyant l'univers mercantile dans \"Le Cavalier électrique\" (1979), et un aventurier romantique dans \"Out of Africa\" (1986), grande fresque romanesque récompensée par sept Oscars. Il entend aussi dénoncer les pièges de la réussite sociale et des convenances (\"La Firme\", 1992, \"L'Ombre d'un soupçon\", 1999). On a pu apprécier ses performances d'acteur dans \"Maris et Femmes\" (1992) de Woody Allen, et dans \"Eyes wide shut\" (1999) de Stanley Kubrick.

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Capable de tourner de grands films romanesques ("Propriété interdite", 1966), des westerns atypiques ("Les chasseurs de scalps", 1968 ; "Jeremiah Johnson", 1972), des films de guerre ("Un Château en enfer", 1968), des adaptations littéraires ("On achève bien les chevaux", 1969), il fait avec brio le tour des grands genres cinématographiques.

Son inspiration se révèle moins flamboyante à partir de la fin des années 70, même si la comédie "Tootsie" (1982), dans laquelle il travestit Dustin Hoffman en femme, témoigne d'une grande virtuosité.

L'acteur favori de Pollack est Robert Redford, qui interprète généralement dans ses films des personnages farouchement individualistes à la recherche d'une innocence perdue : trappeur solitaire dans "Jeremiah Johnson" (1972), Redford est un champion de rodéo fuyant l'univers mercantile dans "Le Cavalier électrique" (1979), et un aventurier romantique dans "Out of Africa" (1986), grande fresque romanesque récompensée par sept Oscars.

Il entend aussi dénoncer les pièges de la réussite sociale et des convenances ("La Firme", 1992, "L'Ombre d'un soupçon", 1999).

On a pu apprécier ses performances d'acteur dans "Maris et Femmes" (1992) de Woody Allen, et dans "Eyes wide shut" (1999) de Stanley Kubrick. 1. »

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