pointillisme

« Le pointillisme : Le mouvement a commencé dans les années 1880 fondé par Georges Seurat, il se développe principalement en France et en Belgique.

Il est issu de l’impressionisme et va donner naissance au néo-impressionnisme et est aussi en relation avec le divisionnisme.

Le néo-impressionnisme utilise les acquis de l’impressionnisme sur la lumière et les vibrations colorées mais modernise le tout.

Quand au divisionnisme, il s’agit d’une technique picturale qui consiste à appliquer sur un support de petites taches de couleur pure juxtaposées. Vous pouvez admirer quelques peintures Place Royale à Bruxelles, au Musée d’Orsay, au Musée du Louvre ou encore à Tokyo et Pékin. Ce mouvement recherche de nos jours que l’on pourrait appeler un effet de pixel, le mélange des couleurs, un jeu d’optique et tout cela dans le but de rendre l’œuvre plus pur.

Les œuvres sont faites de petites touches de peintures généralement de couleur primaire juxtaposés et cela a comme effet, si on se positionne de loin une vision plus nette du tableau.

Il utilise principalement de la peinture à l’huile et les couleurs primaires, parfois des couleurs secondaires. Le but de ce mouvement est d’avoir un effet d’optique pour pouvoir représenter les émotions, le rythme de la vie, le mouvement qui se dessine.

Et pour cela les peintres utilisent des couleurs chaudes lorsqu’ils veulent représenter la joie et le bonheur et des couleurs froides et sombres lorsque leurs but et de faire ressentir la tristesse.

Au final le résultat est plus brillant, pur et plus lumineux.

Les peintres veulent faire travailler l’esprit des spectateurs.

Nous avons pu remarquer que les principaux sujets sont les bateaux en pleine mer qui transmet un effet de solitude. Nos impressions personnelles sur les tableaux (à première vue) : Paris, le pont des Arts : Le tableau semble chaleureux mais il s’imprègne d’une certaine mélancolie qui nous rappelle l’hiver lorsque l’on se met sous la couette avec un chocolat chaud.

L’arbre au premier plan est peu feuillu mais ses branches courbées enjolivent le tableau.

Le fait que ce paysage représente une scène de la vie quotidienne nous rapproche de ce tableau, on pourrait presque s’identifier.

La calanque : Comme nous le disions plus tôt, le bateau seul sur la mer donne une impression de solitude et les couleurs rejoignent cette idée.

Le rose donne l’impression d’un couché de soleil, ce qui apporte une mélancolie, mais le bleu redonne du froid au tableau.. »