Pleurodèle:Ses côtes lui percent la peau.

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Le pleurodèle ou triton de Wald doit son nom allemand de «Rippenmolch» à un détail anatomique extrêmement curieux: l'extrémité de ses côtes est en effet perceptible sur chaque flanc, où elle provoque une saillie de la peau, la perçant même parfois; une tache orangée ou jaunâtre, associée à un amas glandulaire, indique le point de contact.

Comparé à la salamandre tachetée, le pleurodèle passe à peu près toute sa vie dans l'eau, mais il fait preuve de la même lenteur dans ses mouvements et par là s'éloigne de la plupart des tritons.

Il sort des plans d'eau quand ceux-ci s'assèchent et à cette occasion on le voit sur la terre ferme.

A la saison de reproduction, la présence de «pelo­ tes» ou «brosses copulatrices» sur la face interne des membres antérieurs du mâle est un autre détail qui le Ponte: environ 1000 œufs par an Longueur adulte: 20 à 30 cm Embranchement: Classe: Ordre: 1 Vertébrés Amphibiens Urodèles distingue des salamandres véritables.

Ces excroissances cornées, de couleur noire, disparaissent progressivement ensuite; lors de l'accouplement, elles facilitent le maintien de la femelle au moment de la transmission du spermatophore.

Le mâle s'agrippe à sa compagne, passe ses bras au-dessous des siens et émet cet amas de sperma­ tozoïdes; il attend ensuite qu'elle l'ait saisi dans son cloaque pour se déga­ ger.

Cet embrassement peut durer plusieurs heures.

La ponte a lieu en février-mars et en juill~t-août.

Les œufs, réunis en petits rubans, s'accrochent à la végétation aquatique: Ces œufs, d'aspect gélati­ neux, ont été comparés à ceux de l'axolotl, amphibien vivant en Améri­ que.

Le pleurodèle vit dans les étangs, mais on le trouve aussi dans certains lacs, fossés, et même dans les citernes.

Longévité maximale en captivité: 20 ans Famille: Genre et espèce: Salamandridés Pleurodelea waltli (pleurodèle de Waltl) 2 / 2. »