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pierre brulé

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : pierre brulé Ce document contient 5185 mots soit 12 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Fiche de lecture.

« Avis personnel : style clair, détaillé, très complet et facile à lire.

L'auteur revendique son livre comme un ouvrage d'apprentissage destiné aux etudiants, qui emane d'une certaine conception de l'histoire, celle des structures, geographique, demographique, economique et sociale.

Le but etant aux étudiants de comprendre les enjeux des cités grecques a l'epoque classique, tout en approfondissant avec les nombreux textes et cartes presentes tout au long du livre. Introduction : Pierre brulé commence son ouvrage par déclarer un avertissementsur la portée de son livre, qui n'est pas « une nouvelle synthèse sur la cité grecque » mais plus une mise en lumière de son origine, sur des apects de la societé grecques : « je devais d'autant plus m'attcher a les éclairer qu'ils se trouvaient plus dans l'ombre » ecrit-il.Il cadre ainsi son œuvre de Clisthène a Alexandre tout en étayant ces données par de nombreuses cartes et textes philosophiques PREMIERE PARTIE : Geographie p1-31 Dans cette première partie (p1-33) Pierre Brulé commence par faire plusieurs défintions , d'abord de la grèce (elle n'existe pas au sens strict mais evoque des pays héllenes) et de sa délimitation spatiale ( de la franges littorales de l'Asie mineure à l'ouest jusqu'à nos côtes) afin de mieux comprendre son fonctionnment.Puis de la langue parlé dans ses pays et leurs situations spatiales par exemple les différents dialectes dorien, ioniens,mais en insistant sur le fait que tous se comprennent a l'execption des « barbares ».les défintions continuent sur la cité et l'ethnos et sur son utilisation par les peuples grecques,il parle de ses différences geographique en donnant exemple de la chôra pour la polis et du kômai pour l'ethnos et qu'au cours de l'epoque classique ces communautés connaitront une tendance au federalisme qui verra la mise en place d'organismes politiques centraux.Ici l'auteur s'interessent plus a l'ethnos et plus particulièrement athènes qui selon lui peut entendre deux sens ; ville moderne et antique et sur leur conception de « ville » différente avec la nôtre comtemporaine car ils ne concoivent pas la cité comme coupée de sa base humaine. La geographie dans cette première partie tiens toujours une place importan t e car l'auteur ici parle de la morphologie et du morcellment de la Grèce qui on cloisonnée comme les cellules d'une ruchel les pays.

La presence de la carte p4 sur le territoire d'une polis : mantinée en Acardie montre l'altitude elevée ainsi que l'étroitesse du territoire et de leurs côtés ouvert sur la mer.

Cette carte permet d'en conclure que le cloisonnement géographique ne commande ni la taille ni la forme de l'etat et il en conclut qu'a l'epoque classique les constants geographiques ont pris le pas sur les volontés hegemoniques.

Ainsi la cité classique realise dans la majotité des cas l'unité economiques et politique.brulé nous montre l'omnipresence de la montagne dans le monde grecque en s'appuyant sur des pourcentage ( elle couvre 80% de la grèce) malgré le peux d'information que l'on a dans nos sources sur les montagnes et leurs occupations, on sait quelles etaient peuplés « la montagne est productrice d'hommes» et quelles avaient un fort pouvoir agricoles (comme le céreales) et cultivés souvent des plaines a de grandes distances et gardés la population contre certaines maladies (la disette) ou les attaques ennemies. L'auteur ensuite il s'attarde sur l'identifixation et la localistation des cités, taches souvent compliqués car de nombreuses villes ont disparus, mais que grâce à l'archéologie, la littérarure l'on trouve la postion de certaines villes de par l'épigraphie et la numismatique il donne ici l'exemple de la monnaie d'Athènes frappé par la tête de hibou tres representative et des nombreuses stèle gravé qui permettent de caracteriserles cités.Cependant les liste du tribut au Vème siècle constitue une plus grandes sources geographique car elles conservent les noms de poleis ( comme celui 441 qui en conservent 225), cependant cette quête du nombre est extrêmement diffcile,les nombres souvent présents sont exagerés, inventés comme quand Hérodote evalue a 1800 000 le nombre de combattants de l'armée d'invension de Xerxès ainsi les données numérique manquent de precisions « il ne suffit de ne pas chercher à poursuivre des buts inaccessibles eu égard à la nature et à la valeur des sources » Auteur : PIERRE BRULE Titre : la cité grecque à l'epoque classique édition : 3e édition revue et corrigée, presses universitaires de Rennes, 1997, 195 pages. Structure : introduction, 9 chapitres, 6 cartes, 8 tableaux, 14 schémas, 21 textes, bibliographie, index.. »

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