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Phénomologie

Publié le 22/05/2020

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« Intro : Ce texte est tiré de l'ouvrage :"Phénoménologie de la perception", rédigé par Maurice Merleau-Ponty en 1954. Dans l'extrait étudié, l'auteur s'interroge sur l'utilisation qu'un Homme fait de son corp. Nous en vennons a nous demander si cette utilisation, ne dépasse pas l'image "Biologique" de ce corp " I) Intro : Dans l'usage que l'Homme fait de son corps, il y aurait toujours une part d'invention, de fabrication, associé a une part de naturel, mais comment les différencier ?a 1) (utilisation du futur) L'auteur nous indique clairement que l'utilisation qu'un homme fait se son corps est "transcendant", dépasse, va au delà de l'aspect de ce corp simplement bilogique.

Cet aspect biologique est d'après l'auteur, le plus inné chez l'homme. D'ou l'utilisation de l'adjectif "simplement".

En prenant ses distances avec cet aspect "biologique", L'homme crée quelque chose de nouveau : la culture. Il y a donc transformation de la nature par la culture.I 2)Certaines chose qui nous semble naturelle, inné chez la race humaine, sont enfaite aussi non naturel, que d'autre choses, qui avec un minimum de reflexion, peuvent etre classé dans la catégorie du fruit de l'immagination de l'homme. Pour confirmer ses dits, Mr merleau-Ponty use d'un exemple :"Il n'est pas plus...." C'est a dire que pour l'homme, certains sentiments, et certaines réactions parraissent spontanés, naturelle, et qui semble résulter de l'instinct.

Or, il n'en est rien, l'instinct n'est pas présent chez l'homme.

Toutes ces réactions sont le fruit de l'immagination de l'homme, transmise de générations en générations, tout autant que d'appeler une table, une table.tt Conclusion : De ces constats, il déduit que s'il est impossible d'affirmer que tout est fabriqué et que tout est naturel chez l'être humain, on ne peut pas en conséquence séparer en lui ce qui est naturel de ce qui est culturel. Ce sont les deux, ensemble, qui sont constitutifs en l'homme de ce qu'il est. »

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