phénicien.
Publié le 08/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : phénicien.. Ce document contient 138 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Encyclopédie
phénicien. n.m., langue sémitique ancienne de la famille cananéenne, pratiquée sur le
territoire actuel du Liban et de la Syrie, de la fin du II e millénaire avant J.-C. jusqu'au
début de l'ère chrétienne. Le phénicien, qui céda progressivement la place à l'araméen,
est connu par des inscriptions qui s'échelonnent entre l'extrême fin du II e millénaire
avant J.-C. et le IIe siècle de l'ère chrétienne. L'écriture phénicienne, déchiffrée dès le
XVIIIe siècle par l'abbé Barthélemy, est un alphabet consonantique de vingt-deux signes.
Son invention fut un moment capital dans l'histoire de l'écriture. Les Grecs adaptèrent
l'alphabet phénicien à leur langue en utilisant, pour noter les voyelles, les signes
réservés, dans l'alphabet phénicien, à des consonnes n'existant pas en grec : ainsi,
l'alpha, notation en grec de /a/, est emprunté à l'aleph, qui notait en phénicien une
consonne occlusive.
phénicien. n.m., langue sémitique ancienne de la famille cananéenne, pratiquée sur le
territoire actuel du Liban et de la Syrie, de la fin du II e millénaire avant J.-C. jusqu'au
début de l'ère chrétienne. Le phénicien, qui céda progressivement la place à l'araméen,
est connu par des inscriptions qui s'échelonnent entre l'extrême fin du II e millénaire
avant J.-C. et le IIe siècle de l'ère chrétienne. L'écriture phénicienne, déchiffrée dès le
XVIIIe siècle par l'abbé Barthélemy, est un alphabet consonantique de vingt-deux signes.
Son invention fut un moment capital dans l'histoire de l'écriture. Les Grecs adaptèrent
l'alphabet phénicien à leur langue en utilisant, pour noter les voyelles, les signes
réservés, dans l'alphabet phénicien, à des consonnes n'existant pas en grec : ainsi,
l'alpha, notation en grec de /a/, est emprunté à l'aleph, qui notait en phénicien une
consonne occlusive.
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓