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Paul ELUARD, Le Temps déborde, (1947). Ma morte vivante. Commentaire

Publié le 01/07/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Paul ELUARD, Le Temps déborde, (1947). Ma morte vivante. Commentaire. Ce document contient 2223 mots soit 4 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.

« Ma morte vivante Dans mon chagrin rien n'est en mouvement J'attends personne ne viendra Ni de jour ni de nuit Ni jamais plus de ce qui fut moi-même Mes yeux se sont séparés de tes yeux Ils perdent leur confiance ils perdent leur lumière Ma bouche s'est séparée de ta bouche Ma bouche s'est séparée du plaisir Et du sens de l'amour et du sens de la vie Mes mains se sont séparées de tes mains Mes mains laissent tout échapper 'Mes pieds se sont séparés de tes pieds Ils n'avanceront plus il n'y a plus de routes Ils ne connaîtront plus mon poids ni le repos Il m'est donné de voir ma vie finir Avec la tienne Ma vie en ton pouvoir Que j'ai crue infinie ' Et l'avenir mon seul espoir c'est mon tombeau Pareil au tien cerné d'un monde indifférent J'étais si près de toi que j'ai froid près des autres. Paul ELUARD, Le Temps déborde, (1947). Vous ferez de ce poème un commentaire composé, que vous organiserez de façon à mettre -en lumière l'intérêt qu'il vous inspire. Vous orienterez votre lecture à votre gré. Vous vous abstiendrez seulement de présenter un commentaire linéaire ou une division artificielle entre le fond et la forme. Vous étudierez, par exemple, les procédés stylistiques et les effets rythmiques qui permettent au poète d'exprimer son amour et sa douleur. ...»

« Ma morte vivante Dans mon chagrin rien n'est en mouvement J'attends personne ne viendra Ni de jour ni de nuit Ni jamais plus de ce qui fut moi-même Mes yeux se sont séparés de tes yeux Ils perdent leur confiance ils perdent leur lumière Ma bouche s'est séparée de ta bouche Ma bouche s'est séparée du plaisir Et du sens de l'amour et du sens de la vie Mes mains se sont séparées de tes mains Mes mains laissent tout échapper 'Mes pieds se sont séparés de tes pieds Ils n'avanceront plus il n'y a plus de routes Ils ne connaîtront plus mon poids ni le repos Il m'est donné de voir ma vie finir Avec la tienne Ma vie en ton pouvoir Que j'ai crue infinie Et l'avenir mon seul espoir c'est mon tombeau Pareil au tien cerné d'un monde indifférent J'étais si près de toi que j'ai froid près des autres.

Paul ELUARD, Le Temps déborde, (1947).

Vous ferez de ce poème un commentaire composé, que vous organiserez de façon à mettre -en lumière l'intérêt qu'il vous inspire.

Vous orienterez votre lecture à votre gré.

Vous vous abst iendrez seulement de présenter un commentaire linéaire ou une division artifièielle entre le fond et la forme.

Vous étudierez, par exemple, les procédés stylistiques et les effets rythmiques qui permettent au poète d'exprimer son amour et sa douleur.. »

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