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OURY

Publié le 06/12/2021

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Réalisateur et comédien français, né Max-Gérard Tannenbaum à Paris, le 29 avril 1919. Après son baccalauréat, tenté par la carrière théâtrale, il suit les cours de René Simon puis, en 1938, entre au Conservatoire dans la classe de Mme Dussane. Mais, un an plus tard, la déclaration de guerre l'oblige à aban­donner ses études, après avoir obtenu un premier accessit de comédie. Édouard Bour­det l'engage à la Comédie Française pour lui confier le rôle de Britannicus. C'est alors que le jeune comédien, pour échapper à l'attention des occupants nazis, doit se réfu­gier en Suisse. Pendant deux années, Gérard Oury poursuit sa carrière à Genève.

 

En 1945, il est de retour à Paris et joue dans « Les Vivants « (d'Henri Royat), au Théâtre du Vieux-Colombier, auprès de Ray­mond Rouleau. Jacques Becker lui fait jouer un petit rôle dans ANTOINE ET ANTOI­NETTE (1948). Gérard Oury partage désor­mais sa carrière entre le théâtre — il crée notamment la pièce de Georges Simenon, « La Neige était Sale « (1952) — et le cinéma. Parmi ses principaux films, citons : LA BELLE QUE VOILA (1949, J.-P. Le Cha-nois), LE PASSE-MURAILLE (1950, Jean Boyer), LA NUIT EST MON ROYAUME (1951, Georges Lacombe), LA FILLE DU FLEUVE (1954, Mario Soldati), LES HÉROS SONT FATIGUÉS (1955, Yves Ciampi), LA MEILLEURE PART (1955, Yves Allégret), LE DOS AU MUR (1958, Édouard Molinaro), LE VOYAGE (1959, A. Litvak), etc.

« témoin dans la ville» (1959 , lD OURY Edouard Mol inaro) .

NO TICE BIOG RA PH IQ UE Réalisateur et comédien français, né Max­Gérard Tannenbaum à Paris, le 29 avril 1919.

Après son baccalauréat , tenté par la carrière théâtrale , il suit les cours de René Simon puis , en 1938 , entre au Conservatoire dans la classe de Mme Dussane.

Mais, un an plus tard , la déclaration de guerre l 'oblige à aban­ donner ses études , après avoir obtenu un premier accessit de comédie.

Édouard Bour­ det l'e ngage à la Comédie Française pour lui confier le rôle de Britannicus.

C'est alors que le jeune comédien , pour échapper à l 'attention des occupants nazis, doit se réfu­ gier en Suisse .

Pendant deux années, Gérard Oury poursuit sa carrière à Genève.

En 1945, il est de retour à Paris et joue dans « Les Vivants ,, (d'Henri Royat), au Théâtre du Vieux-Colombier , auprès de Ray­ mond Rouleau .

Jacques Becker lui fait jouer un petit rôle dans ANTOINE ET ANTOI­ NETTE ( 1948).

Gérard Oury partage désor­ mai s sa carrière entre le théâtre - il crée notamment la pièce de Georges Simenon, « La Neige était Sale » (1952)- et le cinéma.

Parmi ses principaux films, citons : LA BELLE QUE VOI LA (1949 , J.-P.

Le Cha­ nois) , LE PASSE-MURAILLE (1950, Jean Boyer) , LA NUIT EST MON ROYAUME (1951, Georges Lacombe), LA FILLE DU FLEUVE ( 1954 , Mario Soldati), LES HÉROS SONT FATIGUÉS (1955, Yves Ciampi) , LA MEILLEURE PART (1955, Yves Allégret), LE DOS AU MUR (1958, Édouard Molinaro), LE VOYAGE (1959, A.

Litv a k), etc.

L a création du film l'intéresse, il partic ipe à l'éc riture du scénario du MIROIR A DEUX FACES (1958, André Cayatte), dont il est également l'interprète ainsi qu'à celui de BABETTE S'EN VA-T-EN GUERRE (1959 , Christian-Jaque) et d'UN TÉMO IN DANS LA VILLE ( 1959, Édouard Molinaro ).

En 1959, il se décide à mettre en scène son premier film, une étude de mœurs, LA MAIN CHAUDE, sur un scénario dont il est l'auteur , avec Jean-Charles Tacchella et Jean-Charles Pichon, interprété par Jacques Charrier et Mach a Méril.

Puis, c'est LA MENACE , d'après « Les Mariolles », de Frédéric Dard, avec Marie-José Nat et Robert Hossein.

Le succès du CRIME NE PAIE PAS , film à sketches inspiré des bandes dessinées de Paul Gordeaux dans « France-Soir », avec Michèle Morgan , Edwige Feuillère, Danielle Darrieux, Pierre Brasseu r, etc ., lui .permet de se consa­ crer entièrement à la mise en scène et à l'écriture de ses propres scénarios : LE COR­ N/AUD , qui réunit Bourvil et de Funès est un très grand succès populaire .

Comme le seront , successivement , LA GRANDE VA­ DROUILLE , avec Bourvi l et de Funès, LE CERVEAU , avec Bourvil et Jean-Paul Bel­ mondo, LA FOLIE DES GRANDEURS, avec de Funès et Yves Montand et LES A VENTURES DE RABBI JACOB , avec de Funès.

« Je désire avant tout divertir le public , déclare Gérard Oury.

A mon avis, s'il y a un message à transmettre, il me semble que c'est u n message social que de faire oub lier leurs soucis aux gens préoccupé s par les problèmes de notre temps, de les faire rire avec des éléments exempts de bassesses ou de vul­ garités .

» « Si la ré ussite consiste à faire ce qu 'on a envie de faire, dit-il encore, alors oui j'ai réussi ...

Mais à chaque film, échec ou succès , tout est remis en question .

Ce qui est à la fois angoissant et excitant.

» FIL MOGR APHIE 1960 1961 196 2 1965 1966 LA MA IN C HAUDE.

LA MENACE.

LE CR I ME NE PAIE PAS (« Le Masque » -« CA}jair e Hugh es» - «L'A/faire Fenayrou » -« L' Homm e de /'Avenu e»).

LE CORN IAUD.

LA GRANDE VADROU ILLE.

1969 1971 1973 1978 LE CERVEAU.

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LA FOLIE DES GRANDEURS.

~ LES AVENTURES DE RABBI ·~ JACOB.

-' LA CARAPATTE.

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