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Oral de Français: L'île aux esclave de Marivaux

Publié le 16/03/2022

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« L’île des esclaves. Présentation de l’œuvre. Je souhaite vous présenter la pièce de théâtre L’île des esclaves de Marivaux qui est écrit en prose et comporte 1 acte et 11 scènes.

Elle a été représenter pour la première fois le lundi 5 mars 1725 à l’hôtel de Bourgogne par les comédiens italiens. Cette pièce s’inscrit dans le siècle des Lumière du XVIIIe siècle qui lutte contre l’ignorance, l’obscurantisme mais également sur les inégalité sociale et c’est cette dernière qui fait partie des principales thématiques aborder par Marivaux. Sur l’île des esclaves, une loi impose aux maître et aux valet d’échanger leur rôles.

C’est ainsi qu’Iphicatre et Euphrosine, échoués sue cette île après une naufrage, se retrouvent contre leur gré au service de leur domestiques   : Arlequin et Cléanthis. C’est une pièce que j’ai beaucoup aimée, tout d’abord parce qu’elle est très amusante. On trouve dans cette pièce tous les ressorts comiques traditionnels   : le comique de situation de part le changement d’identité entre les personnages   : les maître deviennent esclaves et les esclaves deviennent maître.

On peut même dire que l’intrigue correspond au comique de situation.

Le comique de mot   : dans la scène 6, Cléanthis parvient très bien a utilisé le langage de ses maître dans la parodie galante mais Arlequin n’arrive pas a imiter le langage courtois, se qui rend le passage drôle.

Ou encore, le comique de geste dans la scène 1 par exemple, les didascalie nous informe qu’Arlequin «   siffle   », «   danse   », «   chante   ».

Malgré une situation triste qui est celle du naufrage, Arlequin se réjouit et se fiche de se qui vient de se passer ou peut se produire. Je trouve que cette variétés de comiques rend cette pièce très rythmé et vif. J’ai d’ailleurs pu voir la mis en scène de Jacques Vincey qui montrent le potentiel comique de la pièce. Ensuite, j’ai apprécié cette pièce car elle traite des thèmes sérieux de manière amusante tels que l’inégalité sociale ou encore la critique de l’aristocratie. C’était un peut déroutant au départ car je pensait qu’une pièce était faite pour être jouée mais la lire ma permis de mieux la comprendre car le fait de lire ma permis de mieux me focaliser sur les mots en me concentrant moins sur les mouvement, intonation et geste des personnages et ainsi de mieux comprendre les passage ou je rencontrait certaine difficulté de compréhension.

En effet, j’ai put comprendre par exemple que cette pièce de Marivaux pouvait s’inscrire dans le genre de l’utopie.

En effet, l’utopie est un non lieux coupé du monde.

Dans cette pièce, il s’agit de l’île.

Ensuite, il y a eu une inversion des rôle sans échappatoire   : un rêve pour les valets et un cauchemar pour le maître.

Cette échange de rôle est utopique car a Athènes il serra totalement impossible de le faire.

Mais lors du retour à Athènes, cette utopie va s’estomper.

Tout va sûrement revenir comme avant car les maîtres ne seront plus sous la pression de Trivenlin. En conclusion, cette lecture m’a transporter dans l’utopie de cette île ou l’ordre social est renversé et m’a donnée l’impression d’être proche des personnages.. »

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