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Norbet Elias

Publié le 22/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Norbet Elias Ce document contient 1007 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.

«   Norbert Elias est né en 1897 en Pologne, après avoir fait des études de médecine et de philosophie en Allemagne il entame sa carrière de sociologue en 1924.

Ses recherches portent surtout sur l'histoire des comportements collectifs.

En 1933, il rédige sa thèse d'habilitation La Société de cour, dont le contexte appartient du XVIème au XVIIIème siècle, celle-ci est une première formulation des concepts et des thèses de Norbert Elias sur un « processus de civilisation ». L'essentiel de son analyse porte sur Versailles sous Louis XIV. Norbert Elias parle de l'extension des pratiques de la cour à l'ensemble de la société, c'est en son sein que s'élaborent des relations particulières entre ses membres, à partir de règles de comportement.

Dans la société de cour est expérimentée l'observation de soi-même et d'autrui.

La société de cour fonde une distinction entre l'homme de la cour et la société du peuple.

Le moteur de cette société est l'étiquette, qui règle la place, la fonction, l'attitude, le moindre geste de chacun.     Comment procède Elias pour isoler les caractéristiques de la société de cour en France dans l'ancien régime Pour isoler les caractéristiques de la société de cour en France sous l'ancien régime, Elias commence par évoquer celles d'autres sociétés telles que la « society » berlinoise ou la « society » londonienne, après avoir montré que le nombre d'années et le respect d'être connu dans une société bourgeoise étaient des valeurs fondamentales de prestige, il évoque le concept d'honneur qui illustre la force de l'homme dans le milieu bourgeois.

On remarque que, perdre l'honneur, c'est perdre sa place dans la société. Ainsi, ce parallèle entre les autres « bonnes sociétés » apporte un éclairage pour mieux comprendre la société  d'ancien régime à partir de sa formation sociale qui est la cour.

L'appartenance à cette société comme à toutes autres « bonnes sociétés » était subordonnée à tel ou tel régime.

Ce même rapprochement employé par Elias. »

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