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Nils Nordenskjöld1832-1901Nils Adolf Erik Nordenskjöld, acquérir une réputation mondiale particulièrement à titred'explorateur polaire et de chef de l'expédition du passage du Nord-Est avec le Véga en1878-1879, naquit à Helsingfors en Finlande le 18 novembre 1832.

Publié le 22/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Nils Nordenskjöld1832-1901Nils Adolf Erik Nordenskjöld, acquérir une réputation mondiale particulièrement à titred'explorateur polaire et de chef de l'expédition du passage du Nord-Est avec le Véga en1878-1879, naquit à Helsingfors en Finlande le 18 novembre 1832. Ce document contient 1361 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

« Nils Nordenskjöld 1832-1901 Nils Adolf Erik Nordenskjöld, acquérir une réputation mondiale particulièrement à titre d'explorateur polaire et de chef de l'expédition du passage du Nord-Est avec le Véga en 1878-1879, naquit à Helsingfors en Finlande le 18 novembre 1832.

Lorsqu'il finit paisiblement ses jours dans sa propriété de Dalbyö en Suède il avait, avec le plus grand succès, accompli pour les sciences et l'exploration une mission d'une ampleur remarquable. Son père, Nils Gustaf Nordenskjöld (1792-1866), qui fut pendant de longues années chef de l'administration des mines en Finlande, est considéré comme le père de la minéralogie suédoise.

C'est aussi par la minéralogie et les sciences connexes qu'Adolf Nordenskjöld devait suivre son père lorsqu'il s'inscrivit à l'Université d'Helsingfors.

Il y étudia particulièrement la chimie, la minéralogie et la géologie, et en outre la physique et l'histoire naturelle.

Dès 1853, il avait accompagné son père en mission dans l'Oural pour y recueillir des collections minéralogiques et, en 1854, il commença son activité personnelle d'écrivain scientifique par quelques courts articles sur la minéralogie et la chimie. En 1857, Nordenskjöld fut promu maître et docteur en physique et mathématique à la faculté d'Helsingfors.

Il a lui-même qualifié cet événement de “ tournant inopiné dans son existence ”.

Son grand amour de la liberté et son orientation vers la culture intellectuelle suédoise s'exprimèrent dans un discours (“ Les souvenirs et l'espérance de la Finlande ”) qui, pour des raisons politiques, ne fut pas approuvé par les autorités russo-finlandaises ; il refusa de se rétracter en quoi que ce fût et il ne lui resta plus qu'à quitter le pays ; en été 1857, il partit pour Stockholm. Nordenskjöld avait déjà en Suède des amis qui appréciaient son intelligence scientifique, et qui s'occupèrent de lui.

Mosander, professeur à la section de minéralogie, l'aida à entrer à l'Académie des sciences, et le professeur Sven Lovén, considéré comme le précurseur des explorateurs polaires suédois depuis l'expédition qu'il fit au Spitzberg dès 1837, lui procura l'occasion de participer, à titre de géologue et de minéralogiste, à l'expédition au Spitzberg d'Otto Torell de 1858.

Ce fut le premier contact de Nordenskjöld avec les régions où s'aventuraient les explorateurs arctiques et qui, plus tard, le captivèrent entièrement. Dès la fin de la même année, il fut nommé conservateur des collections minéralogiques du Musée national de Stockholm après la mort du professeur Mosander.

La Suède devenait dès lors et définitivement sa seconde patrie. L'intérêt qu'il portait aux collections de minéraux lui fit trouver dans sa nouvelle fonction son plein emploi, et il travailla très activement à l'enrichissement du musée.

C'est pourtant par ses études de la géographie arctique et au titre de cartographe que son nom a passé à la postérité. Bientôt en 1861, il repartait avec Otto Torell pour le Spitzberg, cette fois, à bord d'un des navires, la goélette Æolus, comme second du chef de l'expédition.

Grâce à la minutie avec laquelle furent menées les recherches au cours de ce voyage, Nordenskjöld en subit une profonde influence.

Un mesurage des degrés fut alors entrepris au Spitzberg et continué en. »

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