MURDER

« MU RD ER Réalis ation Scén ario . ..... .... ... ... .

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D 'après Je roman « Enter S ir John » de Adaptation Directeur d e la pho togra phie Producti o n Distributi on Dur ée A lfr ed HIT CH CO CK (1 9 30 ) Alma R EV ILLE C lemence DANE, Hele n S IMP SO N Alfred HITC HCO CK, Wa lter MYC RO FT Ja ck C O X Briti sh Int e rnationa l Pictures P arafranc e 108 minute s INTE RPR ÉTATION Sir John Diana Baring ..... .

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H e rbert MA R SH ALL No ra h B A RING Phylli s KO NSTAM Edw a rd CH A P MAN Miles M AN D ER Es mePE R CY Dulcie M arkh am ................. ......... .....

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D onald CA L T HROP Es me CH APLI N L'avoc at général .

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L 'avocat de la défe ns e .........................

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A.

Brandon TH OMAS L'HI ST OIR E Une jeune actrice , Di ana Baring , est accu­ sée du meurtre d 'une de ses am ies appar­ tenant elle a uss i à un e troupe de théâtre en tourn ée.

Lor s du proc ès, tous les jurés, à l 'exce ption de Sir John , auteur dramatique à succès, s' accordent p our reconnaître la culp a ­ bilit é de la jeune femme .

Tout J' accuse : le tisonnier, instrument du crime, d éco uvert à ses pieds , le sang sur sa robe , sa di spute avec la vict i me .

D 'autre part , selon les témoign ages recueillis par l'in s pecteur de police, personne n 'a p é nétr é dan s la maison.

Le lendemain en réfléchissa nt, Sir Jo hn devant l'abse nce totale de mobile s du crime, acquiert la convic­ tion certaine de l 'innocence de Diana .

Aidé p ar un couple d'historien s, il va mener sa propre enquête .

li questionne Dian a empri­ sonnée, pui s la logeuse qui prétend avoir entendu, le jour du crime , une voix d' homme inconnue et aussi Handel Fane , le fianc é de Dian a qui ne semble pas beaucoup pré­ occupé p ar l es m a lheurs de celle-ci.

Les soupç o ns de Sir John se portent sur l ui.

Avec ruse il va l'a mener à lire le manuscr i t d ' une pièce dans le but d 'un évent u el enga­ gement et dont le texte reprod u it l 'épisode d u crime tel que l 'a reconstitué Sir J ohn.

Ce dernier guette les réactions de l'acte u r qui lit le texte à ha u te voix et qui se sent dém as qué .

Avant d 'entrer en sc è ne, trave sti en femme , pour un numéro de trapèze vol ant, il avo ue avoir assassiné la jeune femme de crainte que celle-ci ne révèle à Diana son homo­ sex ualit é.

Il se suicide au cours de son n uméro.

Di ana et Sir John fêteront leur ré uss ite en jouant ensemble sur scène une pièce de ce dernier .

LA PE TIT E HISTOIR E MURD ER est l 'un d es rares films à é nigm e d 'Alfr ed Hit ch coc k : la raison en est que le maître ne voit au cun e é motion dans ce ty p e d 'intrigue QÙ une enqu ête succède à un meur ­ tre jusqu 'à la découverte du coupable.

Pour­ tant, ce quatri è me film parlant intéressa b eau­ coup son auteur de par les nou veaut és tec hnique s et narrati ves qu 'il lui inspirait.

Le monolo gue int érie ur de Sir John qui exprim e l e c hemin em ent de sa pens ée fut, à l'époque , considéré comm e une innovation du cinéma parlant depuis deux ans.

Ce fut le prem ie r film parlant d'Herb e rt Marshall .

Dans la fam euse séquence de la sall e de bains où il ent e nd à la radio le pr élud e de Tristan , il y i;; avait un orchestre de trente musiciens derri ère "' la paro i du décor.

Comme c'était souvent. »