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MOLIÈRE

Publié le 06/12/2021

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1632. Agé de dix ans, Jean-Baptiste Poque­lin, fils de tapissier du Roi, joue, dans un grenier, aux cartes avec des camarades. Tout en se cherchant les poux, les enfants écoutent le curé leur donner une leçon de latin, puis sont témoins des premiers embarras de la circulation. Des saltimbanques viennent animer la nuit des rois chez les Poquelin. Grand-père Cressé partage le gâteau. La ser­vante a la fève. Elle fait de Jean-Baptiste son petit roi. La mère meurt en pleine jeunesse. Pour chasser les idées noires, le grand-père emmène les enfants à la foire St-Laurent où se produit Scaramouche. Jean-Baptiste refuse de suivre la voie familiale. On l'envoie faire du droit à Orléans. C'est son premier contact avec les dévots qui, voulant bannir le péché, interdisent le traditionnel carnaval. La popu­lace passe outre. La police réprime.

« Les Fiches de Monsieur Cinéma Histoire Illustrée du Cinéma Mondial MOLIÈRE Réalisation et scénario ........

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Directeur de la photographie Décors Costumes ........

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Production ..................

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Ariane MNOUCHKINE (1978) Bernard ZITZERMANN (Eastmancolor) Guy-Claude FRANÇOIS Daniel OGIER Distribution ....................................

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Les films dn Soleil et de la Nuit, Films 13, Antenne II, R.A.I.

Les Artistes Associés Durée ........................................

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250 minutes INTERPRÉTATION Molière Madeleine Béjart Armande Béjart Joseph Béjart .

Louis XIV ..........

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Colbert Grand-père Cressé Louis Béjart ....

Geneviève Béjart Thérèse, Marquise du Parc Philippe CAUBÈRE Joséphine DERENNE Brigitte CA TILLON Claude MERLIN Jean-Claude PENCHE NAT Roger PLANCHON Jean DASTÉ Jean-Claude BOURBAULT Françoise JAMET Lucia BENSASSON L'HISTOIRE 1632.

Agé de dix ans, Jean-Baptiste Poque­ lin, fils de tapissier du Roi, joue, dans un grenier, aux cartes avec des camarades.

Tout en se cherchant les poux, les enfants écoutent le curé leur donner une leçon de latin, puis sont témoins des premiers embarras de la circulation.

Des saltimbanques viennent animer la nuit des rois chez les Poquelin.

Grand-père Cressé partage le gâteau.

La ser­ vante a la fève.

Elle fait de Jean-Baptiste son petit roi.

La mère meurt en pleine jeunesse.

Pour chasser les idées noires, le grand-père emmène les enfants à la foire St-Laurent où se produit Scaramouche.

Jean-Baptiste refuse de suivre la voie familiale.

On l'envoie faire du droit à Orléans.

C'est son premier contact avec les dévots qui, voulant bannir le péché, interdisent le traditionnel carnaval.

La popu­ lace passe outre.

La police réprime.

Ce soir-là, Jean-Baptiste rencontre Madeleine Béjart, une coméâienne.

Malgré les réactions de son père, Jean-Baptiste décide d'unir sa destinée à celle de cette femme, de sept ans son aînée, et fonde avec elle et les siens « !'Illus­ tre Théâtre ».

Pendant quinze ans, ils par­ courent la France où règne la misère.

Le Prince de Conti les mande en son château pour le divertir.

Puis les chasse, une fois que le fanatisme religieux s'est emparé de lui.

Rentrée à Paris, la troupe reçoit la protec­ tion de Monsieur, frère du Roi Louis XIV, qui a pris les pleins pouvoirs.

Poquelin, de­ venu Molière, est, avec Lully, l'homme le plus en vue de la cour.

Le plus haï aussi.

« Tar­ tuffe » donne loccasion aux dévots de de­ mander à Colbert d'intervenir.

Un an après la mort de Madeleine, Molière meurt après une représentation du « Malade imaginaire ».

LA PETITE HISTOIRE Cette fresque cinématographique en deux parties, et à gros budget, est tout à la fois f' œu­ vre d'une femme passionnée de théâtre et celle d'une troupe qui depuis 14 ans joue à la Car­ toucherie de Vincennes : le théâtre du Soleil (284 370 spectateurs pour les représentations de « 1789 » ).

Vingt-quatre semaines de prépa­ ration, 5 mois de tournage, 10 mois de mon­ tage ont été nécessaires pour mener à bien cette entreprise qui, malgré son ampleur, est tout le contraire d'une super-production ho/lywoo-dienne pas de vedette, mais vingt grands rôles, pas de cachets mirobolants, mais une même base de salaire pour tous.

Des décors iii naturels et surtout f' utilisation judicieuse de la ~ Cartoucherie, à la fois comme studio et comme ·;;; atelier de fabrication des 1 200 costumes, à la :§ .

confection desquels ont été associés les corné- â:i diens, des centaines de masques sous la direc- :J] tian du spécialiste suisse Stiffel Ehrard et trois g' gondoles vénitiennes.

~ ©. »

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