Databac

Maximilien Ier de Bavière1573-1651Le jeune Maximilien fut élevé avec le futur empereur Ferdinand II par les Jésuitesd'Ingolstadt, qui en firent un catholique fervent et un farouche champion de laContre-Réforme.

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Maximilien Ier de Bavière1573-1651Le jeune Maximilien fut élevé avec le futur empereur Ferdinand II par les Jésuitesd'Ingolstadt, qui en firent un catholique fervent et un farouche champion de laContre-Réforme. Ce document contient 284 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.

« Maximilien Ier de Bavière 1573-1651 Le jeune Maximilien fut élevé avec le futur empereur Ferdinand II par les Jésuites d'Ingolstadt, qui en firent un catholique fervent et un farouche champion de la Contre-Réforme.

Appelé à régner en 1595, Maximilien devient un des souverains les plus marquants de son temps.

Non seulement il donna toute sa valeur à la Bavière, mais ses principes d'administration ont fait école.

La codification du droit bavarois, dans le codex Maximilianeus de 1616, qui créa une unité judiciaire en Bavière, eut une importance énorme.

Une administration des finances exemplaire et une économie établie d'après des principes mercantiles permirent une réforme de l'armée, que commandait Tilly, le général wallon, depuis 1610.

Maximilien marqua son entrée dans la grande politique par une entreprise lourde de conséquences : en 1607 il exécuta la mise au ban de l'Empire de la ville protestante libre de Donauwörth qu'il garda en gage, annexa à son territoire et contraignit à redevenir catholique.

Cela provoqua la jonction immédiate des différents partis protestants de l'Empire dans 1' Union.

En tant que chef suprême de la Ligue catholique, le Bavarois ne se laissa pas entraîner dans une querelle avec les Habsbourg : il déclina une candidature au trône impérial, proposée par l'électeur du Palatinat et soutint Ferdinand II. En remerciement de ce geste et de l'aide que Maximilien avait apportée pour étouffer le soulèvement de la Bohême, il reçut la dignité et les terres électorales de son cousin du Palatinat.

Il se prononça en faveur de la promulgation de l'édit de Restitution et de la mise en congé de Wallenstein, qu'il ne souhaitait pas voir donner trop de puissance à l'empereur.

Par la paix de Westphalie, il conserva l'électorat et le Haut-Palatinat.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles