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Les lois qui régissent la cuisine cachère trouvent leur origine dans laToraUn des fondements du judaïsme se nomme la Cacheroute ; ce termedésigne de manière générique toutes les lois alimentaires, les animauxpermis ou interdits à la consommation et les mélanges interdits(Cachères).

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Les lois qui régissent la cuisine cachère trouvent leur origine dans laToraUn des fondements du judaïsme se nomme la Cacheroute ; ce termedésigne de manière générique toutes les lois alimentaires, les animauxpermis ou interdits à la consommation et les mélanges interdits(Cachères). Ce document contient 411 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Religion.

« Les lois qui régissent la cuisine cachère trouvent leur origine dans la Tora Un des fondements du judaïsme se nomme la Cacheroute ; ce terme désigne de manière générique toutes les lois alimentaires, les animaux permis ou interdits à la consommation et les mélanges interdits (Cachères). Un des éléments fondamentaux de toutes les cultures est la nourriture et l’art culinaire en général.

Le cuit est au cru ce que la culture est à la nature.

La nourriture est un des aspects essentiels de l’humain dans la mesure où c’est à partir d’elle que l’homme entre successivement dans la parole puis dans la pensée. Les arts de la table construisent des rites alimentaires qui rappellent et transmettent l’histoire du groupe humain concerné en un aide-mémoire incontournable qui assure de façon essentielle la cohésion du groupe. L’interdiction fondamentale du judaïsme, en dehors de celle des animaux proscrits, est le mélange du lait et de la viande, ou celui des nourritures à base de lait avec des aliments à base de viande ; ceci afin de respecter le commandement « tu ne cuiras pas le chevreau dans le lait de sa mère ». De multiples interprétations ont été données à ce sujet, nous pensons qu’il s’agit ici d’un rite qui permet de séparer la mère de l’enfant, une façon symbolique d’échapper à l’inceste.

Par ailleurs, tout animal destiné à être consommé doit être abattu par une personne connaissant les lois de l’abattage rituel (la Che’hita).

Cette personne s’appelle le Cho’het.

Il possède un couteau particulier avec lequel il égorge les animaux.

Il fait ensuite couler le sang qui n’est jamais consommé.

Chaque morceau de viande est trempé dans l’eau, puis salé afin d’en extraire tout le sang, et enfin rincé. A ce moment, la viande est apte à être consommée.

On ne consomme pas le sang car il est considéré symboliquement comme la vie et l’âme de l’être vivant. Depuis la destruction du temple, la table représente l’autel, et le repas est une manière de rappeler les sacrifices et tous les rites que pratiquaient les prêtres.

De ce fait, il faut manger non seulement en état de propreté mais aussi de pureté.. »

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