les fables
Publié le 06/12/2021
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Mme de Montespan a été la maîtresse du roi Louis XIV à partir de 1668mécénat dont a profité La Fontaine. Cette dédicace signale la tonalité plus mondaine de ce second recueil. Il commence par rappeler que « l'Apologie est don qui vient des Immortels « et qu'elle nous est parvenue par les « autels « grâce au « Sage « qui en a « [fait] un bel art inventé « (c'est quelque chose de si divin car on en trouve jusques dans les plus anciens livres de la Bible). Ensuite, il montre à quel point la Fable peut livrer un enseignement en « rend [ant] l'âme attentive ou [en la] [captivant] ; [tout] en nous attachant à des récits qui mènent à son gré les coeurs et les esprits «. Ensuite il fait une éloge trop direct à Mme de Montespan (le goût délicat de cette dernière eût sans doute été plus flattée d'une louange plus directe) qui « [lui permet de] franchir les ans dans cet ouvrage « grâce à « ses paroles et regards, [dont] tout est charme chez [elle] « (tout ce que dit La Fontaine est top commun) ; de plus il doit la partager avec « un plus grand maître que [lui] « (Louis XIV). Il ne cesse de remercier sa « Muse «, son « Olympe « qui ira protéger jusqu'à « [son] dernier ouvrage « grâce à son mécène qui « sert [de] rempart et d'abri [pour] le livre favori [et qui pourra ainsi le faire vivre à travers les âges] «, il lui dit que ses vers « attendent tout leur prix «, elles ne peuvent être estimés qu'à la seule « jug [e]) de tout l' « univers « (La Fontaine est très confiant). Enfin, il termine en espérant que « ces vers [procurent] le bonheur de [lui] plaire « et si jamais c'est le cas il construira « des temples que pour [elle] « pour la remercier de tout son travail.
Mme de Montespan a été la maîtresse du roi Louis XIV à partir de 1668mécénat dont a profité La Fontaine. Cette dédicace signale la tonalité plus mondaine de ce second recueil. Il commence par rappeler que « l'Apologie est don qui vient des Immortels « et qu'elle nous est parvenue par les « autels « grâce au « Sage « qui en a « [fait] un bel art inventé « (c'est quelque chose de si divin car on en trouve jusques dans les plus anciens livres de la Bible). Ensuite, il montre à quel point la Fable peut livrer un enseignement en « rend [ant] l'âme attentive ou [en la] [captivant] ; [tout] en nous attachant à des récits qui mènent à son gré les coeurs et les esprits «. Ensuite il fait une éloge trop direct à Mme de Montespan (le goût délicat de cette dernière eût sans doute été plus flattée d'une louange plus directe) qui « [lui permet de] franchir les ans dans cet ouvrage « grâce à « ses paroles et regards, [dont] tout est charme chez [elle] « (tout ce que dit La Fontaine est top commun) ; de plus il doit la partager avec « un plus grand maître que [lui] « (Louis XIV). Il ne cesse de remercier sa « Muse «, son « Olympe « qui ira protéger jusqu'à « [son] dernier ouvrage « grâce à son mécène qui « sert [de] rempart et d'abri [pour] le livre favori [et qui pourra ainsi le faire vivre à travers les âges] «, il lui dit que ses vers « attendent tout leur prix «, elles ne peuvent être estimés qu'à la seule « jug [e]) de tout l' « univers « (La Fontaine est très confiant). Enfin, il termine en espérant que « ces vers [procurent] le bonheur de [lui] plaire « et si jamais c'est le cas il construira « des temples que pour [elle] « pour la remercier de tout son travail.
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