Les fables

« Les Fables I/ /A  Grâces aux  éléments suivants, nous y observons un r écit structure et vivant. Elle est   tout aussi agr éable  à lire qu’ à comprendre. Cette fable est structure en vers, et compos é en   alexandrins et octosyllabes.  Les vers son rythme en croise (AB­BA), donnant un ajout de   l égèret é et de plaisir  à lire. Le texte est compos é à la fois de narrations, et de paroles rapport és. Ce r écit est cour mais fait   passer un message au lecteur tr ès clair et net. En effet gr âce a la longueur et au langage du   texte facile a comprendre, La Fontaine donne un message dont tout le peuple de ce si ècle   peut comprendre. Le fait qu’il n’y ait pas de description rajoute de l’imagination au lecteur et   rends encore plus la fable vivante.  /B Pour rendre cette fable plus comique, La Fontaine remplace les humains par des   animaux en utilisant la personnification. Les animaux repr ésent és par La Fontaine   caract érisent des traits et statuts sociaux. Dans beaucoup de cas ces animaux d ésignent la   cour du roi. En effet Le Lion, repr ésente le roi, qui, dans cette fable et na ïf et capricieux.  Le   Loup lui repr ésente un courtisan fort, fid èle, mais fiable d’esprit. IL s’oppose au renard qui lui   est faible physiquement, mais rus ée. Cette fable est comique dans les paroles et faits de ces animaux. En effet Le Renard  arrive  à   d éjouer le plan diabolique du Loup. On retrouve plusieurs mots et phrases qui donnent un effet   encore plus comique au lecteur. Nous pouvons voir que La   Fontaine utilise le comique de   langue aux vers 30 ”robe de chambre   ’’, aux vers 31 ‘’goute’’, puis aux vers 33 ‘’ soupe’’.  Le retour de situation est un autre  élément comique qui prend place dans la 2eme moiti é du   texte. En effet, apr ès que Le Loup est d énoncer Le Renard, celui­ci parvient  à déjouer les   plans du Loup et arrive m ême de lui faire regretter son acte de trahison envers lui. Nous   pouvons voir que le Renard prend la confiance du Roi, Le Lion, et le fait changer d’avis  à   propos de lui. Le Roi fait tuer, apr ès le rem ède donn é par Le Renard, le Loup qui ne lui voulait   que confiance. II/  /C la Satire du roi. »