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L'Ecosse

Publié le 16/05/2020

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Partie septentrionale de la Grande-Bretagne, séparée de l'Angleterre par la Tweed et la Liddell, les monts Cheviot et le Solway Firth. Habitée par l'homme depuis le IIIe millénaire au moins, la plus grande partie de l'Écosse échappa à la domination des Romains. Ceux-ci n'étendirent leur conquête que dans le sud du pays, jusqu'au mur d'Hadrien, construit en 122 de notre ère, qui allait de la Tyne au golfe de Solway. Cependant, vingt ans plus tard, sous Antonin, un nouveau mur fut construit plus au nord, et, en 207, Septime Sévère fit édifier un troisième mur, plus septentrional encore, qui s'étendait du Forth à la Clyde. Dans les premiers siècles de notre ère, les tribus écossaises étaient dirigées par une aristocratie venue du continent à une date récente, et qui connaissait l'usage du fer. Aux Pictes, peuple celte mentionné par les historiens romains, s'ajoutèrent, au VIe s., des Angles, un peuple germanique venu d'Angleterre, et des Scots, débarqués d'Irlande, qui laissèrent leur nom au pays. Des moines irlandais, en particulier st Columba, établi à Iona vers 563/65, entreprirent l'évangélisation du pays. Menacés par les Scandinaves, qui occupèrent, aux VIIIe/IXe s., les Orcades et les Shetlands, Pictes et Scots, longtemps adversaires, se réunirent en un seul royaume (843 ou 844), mais les incursions des pirates du Nord continuèrent jusqu'au XIIe s. Le royaume écossais fut consolidé par le successeur de Macbeth, Malcolm III Canmore (1058/93), et par David Ier (1124/53). Beaucoup de Saxons d'Angleterre, fuyant la domination normande, se retirèrent à cette époque en Écosse. Au XIIIe s., Alexandre II et Alexandre III éliminèrent définitivement les Scandinaves. Long différend avec l'Angleterre L'Écosse entretint d'abord de bonnes relations avec l'Angleterre normande. Mais lorsque la première dynastie royale écossaise s'éteignit, à la mort d'Alexandre III (1286), le roi anglais Édouard Ier tenta d'imposer son autorité aux Écossais. Ceux-ci se rallièrent à un roi national, Robert Ier Bruce (1306/29), qui écarta momentanément la menace anglaise par sa victoire de Bannockburn (1314) et inaugura la longue alliance avec la France. Les marches d'Écosse et d'Angleterre furent ravagées par ce conflit endémique tout au long du XIVe s. Cependant, les Écossais se déchiraient en luttes intestines et la couronne était disputée entre quelques grandes familles, les Bruce, les Baliol et les Stuarts. En 1371, la dynastie des Bruce fut remplacée par celle des Stuarts, mais le pouvoir royal restait faible en face d'une puissante aristocratie et des chefs de clans celtes des Highlands. Jacques Ier essaya de soumettre les barons, qui le firent assassiner (1437), et ce meurtre plongea l'Écosse dans un siècle de guerres civiles. Jacques IV, en épousant Marguerite, fille d'Henri VII, roi d'Angleterre, acquit à sa maison des droits sur le trône anglais (v. STUART), mais les Anglais, après la guerre des Deux-Roses, étaient revenus à leurs visées sur l'Écosse, et ils infligèrent à Jacques IV, qui trouva la mort au combat, le désastre de Flodden (1513). Jacques V (1513/42) resserra l'alliance avec la France en épousant successivement Madeleine, fille de François Ier, et Marie de Guise. C'est sous son règne que le protestantisme s'introduisit en Écosse : il fut établi sous la forme de l'Église presbytérienne par John Knox. Lorsque Marie Stuart, fille de Jacques V et veuve du roi de France François II, revint en Écosse (1560), le catholicisme avait pratiquement disparu des Basses-Terres. La lutte de la reine contre les protestants se termina par sa fuite en Angleterre (1568), où, après une longue détention, sa cousine Élisabeth Ire la fit exécuter (1587). Mais son fils lui succéda en Écosse sous le nom de Jacques VI et, après la mort d'Élisabeth, devint également, par droit d'hérédité, roi d'Angleterre sous le nom de Jacques Ier (1603).  L'Écosse et l'Angleterre furent ainsi réunies par une union personnelle, mais l'Écosse conservait son indépendance et ses lois propres. La tentative de Charles Ier pour imposer en Écosse le système épiscopalien anglican provoqua la rébellion des presbytériens écossais, unis par le National Covenant (1638) : ce fut le premier épisode de la guerre civile qui devait être fatale à Charles Ier. Cependant, la condamnation à mort et l'exécution de Charles Ier provoquèrent en Écosse un soulèvement royaliste, qui fut énergiquement réprimé par Cromwell (1649/51). Après la déposition du souverain Stuart Jacques II (1688), les Highlands écossais allaient rester longtemps encore le centre d'une agitation des partisans irréductibles des Stuarts, dits jacobites, qui se soulevèrent encore en 1745/46 en faveur du prétendant Charles-Édouard contre la dynastie de Hanovre. Cependant, la reine Anne, par l'Acte d'union (1707), avait fondu les deux royaumes en une seule monarchie. Jamais totalement éteint, le nationalisme écossais connut une renaissance dans le contexte social difficile des années 1930. En févr. 1934 naquit le parti national écossais (NSP) qui reprit un nouveau souffle dans les années 1960, avec l'exploitation du pétrole en mer du Nord qui ouvrait de nouvelles perspectives économiques à l'Écosse. Un succès électoral en 1974 poussa Londres à organiser un référendum sur la devolution (décentralisation), qui échoua faute d'une participation suffisante. En 1997, les Écossais approuvèrent par référendum la création d'un Parlement semi-autonome dans leur province. Les élections de mai 1999, malgré une percée des nationalistes, écartèrent l'idée de séparatisme et les élections de 2003 donnèrent la victoire aux travaillistes.

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