LE REBELLE

« 1 / 2 LE REBELLE Réalisation Scénario D'après le roman de Directeur de la photographie Décors .....

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Musique Production .............

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Distribution Durée King VIDOR (1948) Ayn RAND Ayn RAND Robert BURKS Edward CARRÈRE Max STEINER Henry BLANKE WarnerBros 114 minutes INTERPRÉTATION Howard Roark ....

Dominique Gail Wynand .........

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Peter Keating ........

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Ellsworth Toohey ..........

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Henry Cameron .......

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Enright .........

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Gary COOPER Patricia NEAL Raymond MASSEY Kent SMITH Robert DOUGLAS Henry HULL Ray COLLINS L'HISTOIRE Le jeune architecte Howard Roark, que ses idées peu orthodoxes ont plongé dans une situation financière difficile, est obligé de tra­ vailler dans une carrière de pierre comme simple ouvrier.

Il rencontre Dominique, la fille du propriétaire de rentreprise, et leur attirance mutuelle se transforme rapidement en un sentiment plus profond.

Mais appelé à New York par un contrat, Howard rompt brusquement.

Dominique épouse alors Gail Wynand, dont le journal, « The Banner '' mène une violente campagne contre Roark, enfin reconnu dans sa profession.

Peter Keating, un célèbre architecte, de-mande raide de Roark pour la construction d'un bâtiment public.

Celui-ci accepte à la condition expresse qu'aucune modification ne soit faite à son projet.

Plus tard, de retour d'un voyage avec Wynand, rallié maintenant à sa cause, il constate que plusieurs change­ ments ont été apportés à ses plans ; et il fait sauter le chantier à la dynamite.

Acquitté à son procès grâce à sa brillante auto-défense, Roark est chargé, par testament, de construire le plus grand building du monde à la mémoire de Wynand qui s'est suicidé pour n'avoir pas pu aider son nouvel ami.

Howard, épouse Dominique et commence le travail.

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LA PETITE HISTOIRE LE REBELLE est inspiré du début de la carrière de Frank Lloyd Wright (1869-1959), un célèbre architecte américain qui fut l'un des précurseurs de la construction en verre et en acier.

D'abord réticent sur le choix de son interprète principal, King Vidor a ensuite dé­ claré «Je ne pensais pas que Gary Cooper était le personnage; mais on l'avait choisi avant que je n'arrive.

J'aurais voulu quelqu'un comme Bogart, un type d'homme plus arro­ gant.

Mais.

maintenant que j'ai oublié tout ça et que j'ai revu le film quelques années après, j'ai apprécié la performance de Cooper.

'' Bien qu'il eut une réputation d'homme tran­ quille et qu'il ne fut marié qu'une seule fois, Gary Cooper eut une vie amoureuse très agitée.

En 1925, la scénariste Frances Marion le re­ commanda à Samuel Goldwyn et le lança dans le cinéma, puis Clara Bow jeta son dévolu sur lui, cédant ensuite la place à Lupe Velez qui l'épuisa au point qu'il dut interrompre son travail quelques mois.

La comtesse Dorothy Di Frasso l'entraîna dans les salons mondains, puis 1·int Marlène Dietrich qui l'exigea comme " partenaire.

Il décida de se ranger et se maria c;; en 1933 avec Veronica Balfe.

Sa rencontre ~ avec Patricia Neal fut la révélation du grand :~ amour, mais leur liaison était sans issue, car -' la femme de Gary, catholique, refusait le di- ~ rnrce.

Patricia prit la décision de rompre et ~ épousa, en 1953, Roald Dahl, un diplomate É et écrivain anglais.

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