Le perfectionnement des cadres
Publié le 05/07/2020
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« L'étude des différents principes du perfectionnement professionnel permet d'éclairer les postulats sur lesquels il se fonde, les résultats qu'il essaye d'atteindre, et de dégager sa véritable signification. Les postulats fondamentaux ... sont : la méfiance vis-à-vis des cadres, la crainte des conflits (et le désir d'ordre), la croyance à l'existence de tâches uniquement prescrites. S'il semble nécessaire de fournir un enseignement codifié, auquel tout le monde adhère, c'est qu'il existe la crainte qu'une réflexion active entraîne des oppositions, des manières de voir différentes qui seraient génératrices de conflits entre les cadres. mais également entre les cadres et la direction. Il existe donc bien une méfiance envers les initiatives des cadres qui sont susceptibles de ne pas être dans « la ligne » de l'entreprise. C'est pourquoi les tâches seront de plus en plus codifiées, des indications strictes seront fournies aux cadres sur ce qu'ils doivent faire (catalogues de définitions de fonctions, principes de politique générale). [...] Cette dépendance a un effet sécurisant : on sait ce qu'il est bon de faire et ce qu'il est interdit ...»
« Le perfectionnement des cadres Dans un chapitre de l'ouvrage collectif Pédagogie et psychologie des group es ( Éditions de l'Épi), Eugène Enriquez traite du perfectionnement des cadres et distingue. »
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- Maurois : « Les écrivains français ont toujours eu le goût des écoles. Toujours ils ont aimé à se regrouper autour d'un terme abstrait : classicisme, romantisme, réalisme, naturalisme, symbolisme, existentialisme. À la vérité, les frontières de ces concepts sont confuses. Les grands écrivains ne sont jamais les prisonniers d'une doctrine, même lorsqu'ils en sont les parrains. Leur puissance de création fait éclater les cadres. »
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- Les écrivains français ont toujours eu le goût des écoles. Toujours ils ont aimé à se regrouper autour d'un terme abstrait: classicisme, romantisme, réalisme, naturalisme, symbolisme, existentialisme. A la vérité, les frontières de ces concepts sont confuses. Les grands écrivains ne sont jamais les prisonniers d'une doctrine, même lorsqu'ils en sont les parrains. Leur puissance de création fait éclater les cadres. Vous commenterez ces lignes d'André Maurois ?
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