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Le pain et le vinDevenus par la consécration le corps et le sang du Christ, le pain et levin, séparés, rendent présent le crucifié ressuscité.

Publié le 23/05/2020

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« Le pain et le vin Devenus par la consécration le corps et le sang du Christ, le pain et le vin, séparés, rendent présent le crucifié ressuscité. Le pain et le vin sont le symbole universel de ce qu’il nous faut pour vivre : la nourriture et la boisson.

Baragouiner une langue (du breton bara, “ pain ”, et gwin, “ vin ”) signifie qu’on peut tout juste, en l’utilisant, pourvoir à sa subsistance.

Le psalmiste remercie Dieu de satisfaire les besoins de l’homme : “ Tu fais croître l’herbe pour le bétail et les plantes à l’usage des humains, pour qu’ils tirent le pain de la terre et le vin qui réjouit le c œ ur de l’homme ” (Ps 104,14-15). Ce sont donc les éléments les plus simples que le Christ a choisis pour en faire les signes sacrés de sa grâce : le chrétien se nourrit du pain et du vin, devenus le corps et le sang du Seigneur Jésus.

Pour les catholiques et les orthodoxes, il se produit lors de la consécration un authentique changement de substance, qu’on appelle “ transsubstantiation ”.

Cette foi est partagée, avec des nuances, par les anglicans de la High Church et certains luthériens, mais la plupart des protestants ne voient dans le pain et le vin que les symboles (au sens large du mot) du Christ, non sa présence réelle. La séparation du corps et du sang du Christ est évidemment le symbole de sa mort sur la Croix : la présence réelle atteste le renouvellement du sacrifice par l’Eucharistie, instituée par Jésus lui-même à la dernière Cène.

Ce corps et ce sang doivent être donnés en nourriture aux fidèles, selon les paroles du Christ : “ Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour.

Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang est vraiment une boisson.

[...] De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé et que je vis par le Père, lui aussi vivra par moi ” (Jn 6,54-57). La communion eucharistique donne bien à celui qui la reçoit la vie même de Jésus, en référence au Père et donc au mystère trinitaire, qui dans l’amour unit le Père, le Fils et l’Esprit Saint.

À la “ sainte table ”, nous sommes invités et reçus comme convives au sens fort de ce mot, admis à “ vivre avec ” Jésus sa vie de Fils au c œ ur de La Trinité. Le pain eucharistique se présente sous la forme de disques fins de froment azyme (du grec a-zumè, “ sans levain ”), qu’on désigne sous le nom d’hosties.

Ce mot rattache la communion chrétienne au sacrifice, car le latin hostia désigne la victime expiatoire, et c’est dans. »

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