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«Le coup de foudre au bal» de Madame de Lafayette - «La princesse de Clèves»

Publié le 19/10/2021

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« Coup de foudre au bal Le texte qu’on m’a choisi est « Le coup de foudre au bal » de Madame de Lafayette.

Ce texte est extrait du roman « La princesse de Clèves » considéré le 1 er roman de la littérature et appartient au parcours « Individu, morale, et société ».

Dans ce texte la princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours lors d’un bal.

Cette rencontre constitue le nœud de l’intrigue.

Alors comment cette scène de rencontre permet-t-elle de déclencher l’intrigue ? Ce texte peut être diviser en 3 mouvements.

Le 1 er mouvement de la ligne 1 à 5 est les éléments du romanesque , le 2 nd mouvement de la ligne 5 à la ligne 14 est le coup de foudre , et le 3 eme mouvement de la ligne 15 à 19 est le rôle de la Cour . Le premier mouvement qui va de « Elle passa » jusqu’à « faisait place » consiste à préparer l’intrigue, préparer le coup de foudre.

On retrouve les éléments du romanesque.

La princesse se prépare avec soin pour le bal « Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer ».

Le verbe « se parer » montre l’importance de son apparence extérieure.

Cet évènement se passe dans des lieux exceptionnels, comme le montre les compléments circonstanciels de lieu : « au bal », « au festin royal », « au Louvre ».

Cette jeune fille est l’objet des regards de la cour, « lorsqu’elle arriva, l’on admira sa beauté et sa parure ».

Le pronom indéfini « on » indique que tout le monde est fasciné par son charme.

Ensuite, dans la phrase « comme elle dansait avec M.

de Guise, il se fit un assez grand bruit », la conjonction de subordination « comme » désigne le temps et signifie « en même temps que ».

Pendant qu’un bruit se lève, « quelqu’un » entre.

Le suspens s’installe.

Le lecteur comprend que l’apparition de cet inconnu est importante et aura un impact auprès de la princesse.

On adopte ici le point de vue de la princesse qui ne peut pas voir mais peut entendre celui qui vient d’entrer.

Donc dans ce mouvement, la rencontre se prépare. Dans le deuxième mouvement de « Madame de Clèves » à « de son admiration », il s’agit du coup de foudre.

La proposition subordonnée de temps « pendant qu’elle cherchait des yeux quelqu’un qu’elle avait dessein de prendre, le roi lui cria de prendre celui qui arrivait », montre que la princesse ne maitrise plus rien, le roi lui choisit son partenaire, alors elle est soumise à son autorité.

Après avoir entendu le bruit, elle emploi sa vue « elle. »

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