Databac

Le Bain RituelC'est une sorte de petite piscine dont la construction obéit à des règlesprécises ; elle contient de l'eau dont la quantité et la provenance sontégalement réglementées.

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Le Bain RituelC'est une sorte de petite piscine dont la construction obéit à des règlesprécises ; elle contient de l'eau dont la quantité et la provenance sontégalement réglementées. Ce document contient 392 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Religion.

« Le Bain Rituel C’est une sorte de petite piscine dont la construction obéit à des règles précises ; elle contient de l’eau dont la quantité et la provenance sont également réglementées.

Elle sert à purifier les personnes et les objets. Le Miqvé doit contenir au moins sept cent cinquante litres d’eau.

Le terme de Miqvé se trouve dans le premier chapitre de la Genèse au verset 10 : « Et au Miqvé (rassemblement) des eaux, Il leur donna le nom de mers ».

L’eau du Miqvé possède une vertu purificatrice.

Elle doit être naturelle et provenir soit d’une source, soit de l’eau de pluie, de la glace ou de la neige.

La mer, une rivière, un lac ou un bassin rempli d’eau de pluie offrent eux aussi une eau purificatrice. Le Miqvé est l’endroit où l’on lave les personnes et les objets d’une impureté dont les origines peuvent être très diverses.

L’impureté des personnes est essentiellement liée à l’idée de la mort.

Ainsi, toute personne se trouvant sous le même toit qu’un mort devient impure.

Le sang des règles, résultant d’une non-fécondation et de la mort d’un ovule, rend la femme impure.

Les rapports sexuels sont interdits durant toute la période d’impureté, c’est-à-dire les jours des menstruations plus sept jours sans écoulement, et ne sont à nouveau autorisés qu’après l’immersion de l’épouse au Miqvé.

L’obligation pour la femme de s’abstenir de rapports sexuels pendant sa période d’impureté et de s’immerger ensuite, constitue ce que l’on appelle les lois de pureté familiale (lois de Nida) ; l’immersion dans le Miqvé se nomme la Tevila. Multiples à l’époque du temple, les occasions de purifier et de se purifier sont nettement moins abondantes, mais l’importance de l’acte n’a pas diminué pour autant. Ainsi, de nos jours la fréquentation du Miqvé est surtout assurée par : 1.

Les femmes à la veille de leur mariage et les femmes mariées qui viennent s’immerger après chaque accouchement ou menstruation 2 Les personnes qui se convertissent au judaïsme 3 Certains hommes, le vendredi avant le Chabbat 4 Certains hommes à la veille de Kippour Ces deux dernières catégories ne représentant pas une obligation.

Chez les Hassidim, l’immersion dans le Miqvé est un acte mystique de renaissance, de rapprochement avec Dieu, exécuté avec une grande. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles