la zoothérapie

« La discussion des résultats Pour ce qui est de la discussion des résultats, nous nous sommes rendu compte que certains éléments de l’analyse que nous avons effectués méritaient d’être interprétés.

Par exemple, d’après les résultats obtenus, nous avons remarqué que la majorité des répondants ont acquis leurs connaissances de la zoothérapie à travers les médias, par les gens qui les entourent, etc.

Cela démontre que la zoothérapie est tout de même un sujet d’actualité.

Aussi, n’ayant aucun répondant qui on bénéficier de ce traitement, on pourrait conclure que la population est dubitatif devant cette thérapie.

Les gens restent sceptiques devant les résultats positifs qu’elle peut apporter.

On peut donc conclure que la zoothérapie n’a pas encore faite ces preuves. Il aurait été intéressant de savoir si les gens avaient déjà eu recours à un psychologue ainsi nous aurions pu démontrer que les gens n’était pas contre les thérapies, mais plutôt qu’ils avaient une plus grande confiance en un professionnel reconnue.

Ainsi malgré le fait que la majorité des gens en ait entendu parler, la pratique n’a pas semblé attirer les gens.

De plus, le fait que ces derniers ne soient pas des spécialistes semble avoir refroidi l’idée de vouloir traiter un mal avec l’aide de la zoothérapie. Les réponses donné à la question sur les bienfaits que pouvait avoir la zoothérapie était très varié pourtant.

La majorité des répondants croyait en effet que la zoothérapie pouvait apporter certain bienfaits mais pas assez à pour y avoir recourt semble-t-il.

De plus, le fait qu’un grand nombre de gens ont répondu avoir entendu parler de la zoothérapie par leur entourage laisse supposé qu’ils n’ont pas tenté d’approfondir leurs connaissances sur le sujet pour se forger leur propre opinion et se sont plutôt fier à celle que leur a transmise leur entourage.

Aussi, en se fiant aux réponses donné au questionnaire on peut conclure que la plupart des répondant ne possédait pas de connaissance approfondit sur le sujet.

Ainsi, leur perception proviendrait de leur environnement mais nous pensons qu’elles pourraient également provenir de l’intérêt qu’ils peuvent avoir pour les animaux.

Par exemple, si une personne avait eu une expérience traumatisante avec un animal, cette dernière n’aura pas l’envie d’être traitée en compagnie d’un animal.

Nous n’avons malheureusement pas pensé a posé cette question lors de la création de notre questionnaire.

D’un autre côté, en regardant la question portant sur les risques que pouvait comporter la zoothérapie la majorité des répondants ont répondu qu’il pouvait avoir des. »