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La Roue du TempsLa Roue du Temps est la manière tibétaine d'ancrer l'être humain dansses dimensions matérielle, spirituelle et universelle.

Publié le 23/05/2020

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« La Roue du Temps La Roue du Temps est la manière tibétaine d’ancrer l’être humain dans ses dimensions matérielle, spirituelle et universelle.

Elle est exécutée en sables colorés pour des initiations ou représentée sur des rouleaux de tissu brodé ou peint. Diagramme somptueux et coloré de l’un des enseignements les plus complets du Vajrayâna, la Roue du Temps, ou initiation de Kâlachakra, est à la fois l’ouverture d’un chemin vers la connaissance et le sentier qui mène à l’harmonie.

Cette harmonie procède d’une subtile résonance entre le corps et l’esprit humains, et l’univers extérieur qui leur sert d’écrin dans ses dimensions astrologique et cosmique.

En mariant en une forme subtile l’éphémère et le sensible, les sages himalayens voient dans la pratique rigoureuse et complète du K âlachakra la possibilité d’accéder à l’éveil en une seule vie.

C’est dire d’emblée sa complexité. Si l’on en croit Tenzin Gyatso, l’actuel dalaï-lama, quatorzième de la lignée, la symbolique de la Roue du Temps est étroitement liée à notre monde et à notre époque : “ Nous croyons fermement en son pouvoir de réduire les tensions, explique-t-il, nous l’estimons apte à créer la paix, la paix de l’esprit, et par conséquent à favoriser la paix dans le monde.

Un jour, dans les siècles à venir, le royaume de Shambala pourrait fort bien réapparaître dans la réalité qui semble être la nôtre, et contribuer à l’ œ uvre d’ensemble qu’il nous faut encore accomplir en ce monde.

” Le hiérarque spirituel a lui-même conféré cette grande initiation à plus de vingt reprises, depuis 1954 à Lhassa dans son Tibet natal, jusqu’en 1995 à Oulan-Bator en Mongolie, en passant par Bodh Gayâ et Sarn âth, ces hauts lieux du bouddhisme, Rikon en Suisse, Madison aux États-Unis, Barcelone en Espagne, ou encore Leh au Ladakh et Mungod en Inde du Sud.

Assister à pareille initiation – suivre l’élaboration du mandala, écouter l’enseignement, pénétrer par la visualisation cet univers de couleurs et de symboles, faire le tour du cosmogramme sacré et s’en purifier le regard, sèment les germes d’une prochaine renaissance heureuse. En accordant l’être humain au cosmos, le Kâlachakra met en jeu les forces de l’intérieur et de l’extérieur, illustrées par le mandala, support de méditation et diagramme de l’univers, avec toutes les correspondances qu’il engendre.

Au c œ ur du mandala, au plus secret du sanctuaire de la divinité, dans le palais de la conscience. »

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