La princesse de cleves (portrait dérobé) - Analyse linéaire

« INTRODUCTION - La Princesse de Clèves (1678): plus illustre œuvre de Madame de la Fayette classicisme: basé sur une image idéale de l’homme, valorise la raison lors de la quête pour la perfection cadre spatio-temporelle: aristocratie parisienne (cour de Henri II), entre 1558~1559 (au cours d’une année) résumé intrigue: passion amoureuse qui ne se concrétisera jamais extrait: le vol du portrait de Mme de Clèves par le duc de Nemours En quoi La Princesse de Clèves est une représentation psychologique du héros classique? PLAN - une scène de roman galant (l.

1~14) une analyse psychologique des personnages (l.

15~fin) I- Une scène de roman galant (l.

1~14) l.

1~4: - valeur importante noblesse: beauté - l.

1 : “toutes les belles personnes de la cour” - l.

4 : “si belle” - traditions du roman galant (personnages nobles idéalisés, focalisation sur la sphère privée et sur l’observation du comportement humain) - l.

3 : “l’après-dîner” -> moment de confessions et d’échanges amoureuses l.

4~6: - champs lexical de la sentimentalité mise en lien avec celui du regard - “amoureux”, “les yeux attachés sur elle”, “plaisir”, “la regarder” - la cour comme un lieu de paraître et non de "être" - l.

4~5 : “sans laisser paraître néanmoins qu’il les cherchât”, “quand il ne l’aurait pas été” -> dichotomie être/paraître - l.

6 : “il craignait de laisser trop voir” l.

7~10: - importance du portrait, de l’image - l.

7: “un petit portrait”, l.

1 “des portraits” - relations féodales Mme de C/peintre - l.

9~10 : “ordonna”, “obéir” l.

11~14: - références au concept du "fin d'amor" (amour courtois visant à “conquérir une femme idéalisée) - l.

12 “il ne put résister à l’envie de le dérober” - défi/épreuve amoureux nécessitant du courage -> chevalerie - préoccupation des individus sur leur image. »