La fontaine de sang
Publié le 30/01/2022
Extrait du document
«
La fontaine de Sang est un poème de Charles Baudelaire écrit en
1857.
Baudelaire va nous raconter par ce poème une expérience faite
pendant la recherche d'un paradis artificiel qui serait alors celui de la
luxure.
Mais nous comprenons rapidement que Baudelaire est loin de
son objectif.
Car en effet dès le premier vers Baudelaire nous fait
éprouver sa souffrance une souffrance t-elle qui a l’impression de se
vider de son sang « Il me semble parfois que mon sang coule à flots ».
Nous apprenons après par le vers 2 que se sang coule t’elle une
« fontaine aux rythmiques sanglots » Baudelaire nous transmet donc
un vision de douleur et de souffrance comme une fontaine de sang.
On
comprend alors un peu plus tard dans le texte que cette blessure est
fictive étant donné qu’il ne la trouve « je me tâte en vain pour trouver
la blessure ».
Par conséquent on peut deviner que cette blessure est
mentale et non pas physique.
Dans cette deuxième strophe on
comprend que le sang coule à l’infini « à travers la cité » on peut
penser que Baudelaire s’imagine un monde mais aussi que sa blessure
n’est pas guérissable.
La théorie de ce monde va ensuite être confirmé
par « désaltérant la soif des créatures » qui veut dire que des créatures
sont entrain de boire son sang.
Un sang qui coule dans la démesurent
jusqu’à aller recouvrir l’intégralité de son monde imaginaire (cité).
On
comprend ainsi alors dans la troisième strophe que la seule solution
qu’à trouver le poète pour se soulager et de l’alcool « vins captieux ».
A partir de cela nous pouvons créer une sorte de petite théorie sur ce
qu’a voulu nous transmettre l’auteur.
On peut imaginer que le sang qui
coule est en fin de compte le chagrin de l’auteur et que par conséquent
les créatures buveuses de sang sont ce qui a produit ses peines.
On
comprend donc que Baudelaire voudrait tout simplement quitter sa
situation compliqué et que pour cela il n’a rien trouvé d’autre que de
se noyer dans l’alcool de manière à rejoindre un nouveau monde
pendant qu’elle qu’instant.
Cette partie de la théorie est en suite validé
par le vers suivant « D’endormir un jour la terreur qui me mine ».
Tout
cela va nous donner une vision très triste de la vie de Baudelaire, la
vision d’un homme triste et profondément blessé mentalement et qui
n’a malheureusement pas trouvé d’autre solution que de se noyer dans
l’alcool pour échapper à ce monde de tristesse pendent ne serait-ce.
»
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