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L'archéologie.

Publié le 07/12/2021

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L'archéologie.
Apparue dès le XVIe siècle, l'archéologie ne cesse d'élaborer des méthodes originales
d'investigation pour l'étude des sociétés anciennes. Elle étend son champ d'action à des
domaines réservés traditionnellement à l'histoire et à l'ethnologie. Ne se limitant pas à la
préhistoire et aux sociétés sans écriture, les archéologues opposent souvent une vision
alternative de périodes historiques que l'on croyait bien connues.
L'archéologie désigne à la fois la discipline historique chargée d'étudier principalement les
témoins matériels des sociétés anciennes et l'ensemble des techniques de recherche et
d'interprétation qu'elle met en oeuvre.

La naissance d'une discipline
Au XVIe siècle, le regain d'intérêt pour l'Antiquité gréco-romaine conduisit humanistes et
mécènes à chercher dans le sol les oeuvres des Anciens. À Rome, lors de fouilles dans les
thermes de Caracalla commandées par le pape Paul III Farnèse, furent exhumées de
nombreuses statues en marbre, prises pour modèles par les sculpteurs italiens. Aux XVIIe
et XVIIIe siècles, architectes, voyageurs et dessinateurs (comme Piranèse) firent connaître
les ruines de la Grèce et de l'Italie. D'abord affaire d'amateurs d'art, l'archéologie ne devint
que progressivement une discipline historique. Ce furent les fouilles des villes romaines de
Pompéi et d'Herculanum, à partir de 1719, qui révélèrent la diversité des apports de
l'architecture, de la peinture et de l'art mobilier dans l'étude des sociétés anciennes. Les
premières synthèses rigoureuses sur les civilisations grecque et romaine furent alors
publiées par le comte de Caylus (1692-1765) et par l'Allemand Winckelmann (17171768).
Pendant le XIXe siècle, le domaine de l'archéologie s'élargit considérablement, tant
géographiquement que chronologiquement. De nouvelles spécialités, telle l'égyptologie,
apparurent. Les savants qui accompagnèrent Bonaparte, lors de son expédition en Égypte
en 1798, rapportèrent en Europe une imposante documentation, qui fut réunie dans un
gros volume : la Description de l'Égypte, publiée à partir de 1809. C'est d'après ces
données récoltées sur le terrain que Jean-François Champollion parvint à déchiffrer
l'écriture hiéroglyphique, à partir de 1822.
D'autres civilisations sortirent de terre grâce aux fouilles menées dans les années 1840
au Proche-Orient, en Mésopotamie, sur les sites de Khorsab?d et Nimr?d. L'écriture
cunéiforme fut déchiffrée en 1846. Ce fut la naissance de l'assyriologie. Dans les années
1870, Heinrich Schliemann, un riche banquier allemand, fouilla les villes citées dans l' Iliade
d'Homère : à Troie en Turquie et à Mycènes en Grèce, il crut reconnaître les vestiges de
l'épopée et les tombes des héros achéens. Il mit surtout au jour une brillante civilisation,
très antérieure au classicisme grec. Au début du XXe siècle, en Crète, Arthur Evans
découvrit à Cnossos les ruines d'un palais du IIe millénaire avant J.-C. Il n'hésita pas à y
voir la demeure du légendaire roi Minos et le théâtre des mythes grecs d'Icare et du
Minotaure.
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Les corrélats
Caylus (Anne Claude Philippe de Tubières-Grimoard, comte de)
Champollion Jean-François
C nossos
cunéiforme
égéenne (civilisation)
Evans (sir Arthur John)
Herculanum
hiéroglyphe
Lenoir Alexandre
Minos
Mycènes
Nimrud
Paul - Paul III
Piranèse (Giovanni Battista Piranesi, dit en français)

Pompéi
Schliemann Heinrich
Winckelmann Johann Joachim
Les médias
archéologie - richesse de l'égyptologie
Les livres
hiéroglyphe - la pierre de Rosette, page 2361, volume 5
archéologie - les fouilles à Antinoë, en Égypte (gravure extraite du Petit Journal de
janvier 1904), page 320, volume 1

Archéologie, religion, science et politique
En remontant ainsi dans le temps, l'archéologie posa alors de nouvelles questions : quelles
étaient les limites entre mythologie et histoire ? Devait-on prendre au pied de la lettre la
chronologie des débuts de l'humanité telle qu'elle apparaissait dans la Bible ? Sur ce dernier
point, les recherches faites en Europe apportèrent les données décisives. En effet, à partir
de 1830, Jacques Boucher de Perthes trouva dans les alluvions de la Somme, en Picardie,
de très anciens outils en pierre taillée (voir abbevillien). Il nota leur position stratigraphique
et, prenant appui sur les travaux récents des géologues, il parvint à dater les premières
industries humaines d'une période bien antérieure au Déluge. La préhistoire naquit alors
d'une remise en cause de la description biblique des débuts de l'humanité ; elle se nourrit
au contraire des résultats récents des sciences de la nature : géologie, paléontologie,
biologie humaine et animale.
Les premiers préhistoriens adoptèrent rapidement les thèses évolutionnistes exposées
par Charles Darwin à partir de 1859. À l'occasion d'une classification des collections du
musée de Copenhague, Christian Jürgensen Thomsen constata l'existence d'une évolution
technologique au cours de la préhistoire. Il y distingua trois âges, définis par les matériaux
employés successivement pour la fabrication de l'outillage : l'âge de la pierre, l'âge du
bronze et l'âge du fer. Cette première chronologie, corrigée et précisée au cours du
XIXe siècle, permit aux archéologues de classer les objets qu'ils découvraient et de dater
les sites qu'ils fouillaient.
L'une des spécificités de l'archéologie préhistorique tient au fait que les données
fournies par les fouilles ne peuvent être confrontées à des textes - inscriptions et
littérature - ni rattachées à des événements historiques. Il en va de même pour certaines
trouvailles archéologiques extra-européennes, nombreuses dès le XIX e siècle (au Mexique,
en Indonésie ou en Amérique du Nord). Les spécialistes de ces domaines élaborèrent donc
des problématiques et des méthodes spécifiques.
L'archéologie est devenue en outre une discipline académique avec des instituts, des
universités et des écoles d'archéologie. Une rivalité s'est fait jour entre les plus riches des
pays européens (Allemagne, France, Grande-Bretagne), qui ont obtenu des concessions
sur les sites les plus réputés (à Olympie, Delphes ou Cnossos en Grèce). Les concurrences
scientifiques masquèrent souvent des conflits territoriaux ou idéologiques. C'est ainsi que
les limites de la Gaule furent invoquées en France pour faire reculer la frontière jusqu'au
Rhin et que les prétendues invasions des « champs d'urnes « de l'âge du bronze servirent à
la justification de la politique expansionniste de l'Allemagne jusque sous le IIIe Reich.
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Les corrélats
abbevillien
âge de la pierre
âge du bronze
âge du fer
Athènes (École française d'archéologie d')
Boucher de Crèvecoeur de Perthes Jacques
C nossos
Delphes
Olympie
paléontologie
Picard Charles
préhistoire - La science préhistorique

sciences (histoire des) - Le temps - La naissance du temps profond

Une science humaine
Dans la première moitié du XXe siècle, l'archéologie a tenté de se constituer comme
science. Contre les collectionneurs, qui affectionnent les oeuvres d'art et les beaux objets,
contre certains historiens qui privilégient les inscriptions et les vestiges d'événements
attestés par les textes, les archéologues ont mis beaucoup de soin à recueillir les traces les
plus fragiles de la vie quotidienne, de la « culture matérielle «. Pour cela, des techniques de
fouilles rigoureuses ont été élaborées. Mortimer Wheeler, dans les années trente, rendit
systématique le découpage des zones de fouilles en carrés et le relevé des coupes
stratigraphiques. On recueillit désormais les moindres tessons de poterie commune, les
restes de nourriture ; on enregistra les irrégularités du terrain, signes de constructions
anciennes : trous de poteaux, fosses à ordures, murs de terre.
L'archéologie est ainsi devenue une ethnologie des temps anciens. Le préhistorien
structuraliste André Leroi-Gourhan, après la Seconde Guerre mondiale, fut parmi les
premiers à mener de front des enquêtes ethnologiques dans diverses régions du monde et
des fouilles archéologiques sur des habitats du paléolithique. À Pincevent, en Seine-etMarne, il fouilla un campement de chasseurs magdaléniens. En observant précisément la
répartition dans l'espace des restes de repas, des outils, des feux, il est parvenu à restituer
dans ses grandes lignes la vie sociale du groupe, ses habitudes alimentaires, ses activités
au cours des saisons. Cette approche anthropologique est désormais adoptée pour l'étude
des périodes récentes. Les sites archéologiques fournissent aux historiens des
renseignements importants que les textes ne contiennent pas. La fouille des usines des
XVIIIe et XIX e siècles renouvelle l'étude de la révolution industrielle. L'examen de décharges
publiques jette les bases d'un nouveau type de sociologie de la consommation. Les
domaines de l'archéologie se diversifient au contact d'autres sciences humaines : l'histoire,
l'ethnologie, la sociologie en premier lieu.
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Les corrélats
ethnologie
histoire
Leroi-Gourhan André
Pincevent
préhistoire - La science préhistorique
sociologie

La découverte des sites
Le hasard a souvent été à l'origine de découvertes spectaculaires, tels la grotte
préhistorique de Lascaux, trouvée par des enfants à la recherche de leur chien, ou les
manuscrits hébraïques de la mer Morte, mis au jour par un berger. La plupart du temps, les
trouvailles ont lieu à l'occasion de travaux agricoles, du creusement de carrières, de la
construction de routes, de chemins de fer et d'installations industrielles. Dans tous ces cas,
les archéologues doivent intervenir en urgence pour sauver des vestiges en cours de
destruction. De nombreux pays ont adopté une législation visant à la protection du
patrimoine archéologique. Les fouilles clandestines, souvent le fait de chercheurs de trésor
ou de trafiquants d'antiquités, sont interdites et réprimées. De plus, depuis la Seconde
Guerre mondiale, diverses méthodes de détection des sites ont été mises au point. Elles
permettent de dresser des listes de monuments à protéger et à fouiller en priorité. La
photographie aérienne est utilisée pour repérer les installations anciennes. Elle enregistre
des nuances de couleurs dans les champs, des différences de chaleur et de relief, signes de
la présence d'un mur ou d'un fossé. Les photographies prises par satellites révèlent les
cadastres anciens. Des procédés électromagnétiques précisent au sol les données
obtenues en vol. Les vestiges sont ainsi détectés sans risque de destruction. En Italie, dès
les années cinquante, les chercheurs de la fondation Lerici ont ainsi identifié des centaines
de tombes étrusques intactes en sondant le sol. À partir des données fournies par la
prospection, un programme de fouilles et de restauration des vestiges est élaboré.
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Les corrélats
Lascaux (grotte de)

Morte (mer)
patrimoine historique
photogrammétrie
Les médias
Sumer - les principales fouilles archéologiques sumériennes
Les livres
Celtes - l'ossuaire celtique de Ribemont-sur-Ancre (vers 250-200 avant J.-C.),
page 923, volume 2
Celtes - vue générale de l'oppidum de Bibracte (mont Beuvray, Nièvre),
page 924, volume 2
Morte (mer) - fragment d'un texte hébreu, page 3297, volume 6
Suse, page 4965, volume 9
archéologie - vues aériennes d'un site à Béhen, dans la Somme, au moment du
repérage (en haut), puis au cours des fouilles (en bas), page 321, volume 1
archéologie - épave retrouvée aux abords de Carry-le-Rouet, page 325,
volume 1
France - la Vénus à la corne, page 2002, volume 4
France - la Vénus de Brassempouy, page 2002, volume 4
homme - la vallée de l'Omo, dans le sud-ouest de l'Éthiopie, page 2392,
volume 5

La fouille
La fouille proprement dite s'effectue à l'aide d'instruments divers : du bulldozer, pour les
couches de surface, à l'aspirateur et au scalpel pour le dégagement des vestiges les plus
fragiles. Elle vise d'abord à comprendre la succession des périodes d'occupation d'un site
(sa stratigraphie). Elle est particulièrement délicate à saisir lorsque l'occupation humaine a
été longue : chaque époque détruit en partie les restes des époques précédentes, en
rasant les murs ou en creusant les fondations de nouveaux bâtiments. La fouille a en
même temps pour but de saisir l'organisation spatiale du site à chaque période
d'occupation : plan d'une ville ou d'un cimetière, fonction d'un bâtiment, répartition des
activités dans une maison. Le dégagement des vestiges est suivi de leur enregistrement
graphique et photographique. Le fouilleur constitue une documentation utilisable après le
recouvrement ou la destruction du site. Des aquarelles du XIXe siècle aux relevés en trois
dimensions assistés par ordinateurs, des techniques d'enregistrement toujours plus
précises ont été mises au point pour garder en mémoire les vestiges détruits au fur et à
mesure de l'avancement de la fouille.
Dans la pratique, chaque site présente des contraintes spécifiques et nécessite la mise
en oeuvre de moyens plus ou moins sophistiqués. Certains chantiers durent plusieurs
décennies. Il faut alors construire des infrastructures importantes : salles de travail,
réserves pour le stockage des découvertes, logements des fouilleurs. Sur d'autres sites au
contraire, comme la tombe celtique de Hochdorf en Allemagne, le travail sur le terrain peut
être de courte durée : on prélève des blocs de terre que l'on fouille dans des laboratoires
spécialisés dans la conservation des matériaux organiques. Dans les habitats de marais ou
de bord de lacs, on assèche préalablement les zones à fouiller. Les fouilles sous-marines,
enfin, sont effectuées par des plongeurs professionnels, à partir de navires équipés de
pompes à sédiments. Dans ce dernier domaine, laissé trop longtemps aux pilleurs
d'épaves, les récentes fouilles scientifiques ont apporté de nombreuses informations aux
historiens sur la navigation et les relations commerciales à longue distance.
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Les corrélats
aspirateur
bulldozer
stratigraphie
Les médias
archéologie - les « engins « de l'archéologie sous-marine
Sumer - les principales fouilles archéologiques sumériennes
Les livres

archéologie - fouilles d'un site gallo-romain à Ribemont-sur-Ancre, dans la
Somme, page 320, volume 1
archéologie - vues aériennes d'un site à Béhen, dans la Somme, au moment du
repérage (en haut), puis au cours des fouilles (en bas), page 321, volume 1
archéologie - le chantier de l'oppidum de Bibracte, page 322, volume 1
archéologie - fouilles du théâtre gallo-romain de Ribemont-sur-Ancre, page 322,
volume 1
archéologie - le site de Glanum, près de Saint-Rémy-de-Provence, page 322,
volume 1
archéologie - fouilles d'une nécropole vieille de 6 000 ans, dans le Puy-de-Dôme,
page 322, volume 1
archéologie - fouilles de Tautavel, page 323, volume 1
homme - fouilles dans l'abri sous roche de la Madeleine, en Dordogne,
page 2394, volume 5

Les méthodes de datation
La datation des vestiges mis au jour constitue l'une des tâches préliminaires à l'étude
archéologique. De nouvelles techniques de datation permettent de fixer de plus en plus
précisément le cadre chronologique des nombreux phénomènes historiques sur lesquels
aucune source écrite n'apporte de renseignements.
La chronologie archéologique comprend deux volets : la chronologie relative, d'abord,
qui se contente d'établir l'ordre d'apparition des cultures et des sites et la succession des
faits, et qui est fondée sur l'examen des stratigraphies et sur l'évolution morphologique et
technique des industries humaines ; la chronologie absolue, ensuite, qui assigne une date
aux événements (l'apparition ou l'abandon d'une agglomération, d'une technique, d'une
production artisanale). Reposant à l'origine sur la comparaison des données archéologiques
avec les sources écrites, elle s'appuie maintenant sur les résultats fournis par de nouvelles
techniques scientifiques de datation : utilisation du carbone 14 ( voir cet article) et du
potassium-argon ; thermoluminescence (technique qui permet d'évaluer la date de cuisson
d'une céramique ou d'une argile) ; paléomagnétisme (étude du déplacement du Nord
magnétique au cours du temps) ; dendrochronologie (étude des cernes de croissance des
troncs d'arbre). Cette dernière technique, de loin la plus précise, permet parfois de
remettre en cause la validité de dates historiques fournies par les textes.
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Les corrélats
carbone 14
chronologie
datation
dendrochronologie
préhistoire - La science préhistorique
radioactivité - Les applications de la radioactivité
thermoluminescence

Conservation et étude des trouvailles
Les données recueillies au cours de la fouille donnent lieu à diverses études menées par des
archéologues mais aussi par des spécialistes d'autres disciplines. Des anthropologues
examinent les squelettes humains découverts dans les cimetières. Ils déterminent leur âge,
leur sexe, leur taille. Ils décèlent les traces de maladies ou d'accidents. Ils trouvent dans le
tartre des dents les restes microscopiques des nourritures consommées. Des biologistes
étudient les ossements d'animaux, très nombreux dans les habitats. Ils déterminent
comment on se procurait la nourriture carnée : que chassait-on ? Comment a-t-on
commencé à domestiquer certaines espèces ? Quelles bêtes consommait-on ? Comment
les découpait-on ? D'autres chercheurs observent les restes végétaux : pollens, graines
carbonisées, charbons de bois. En étudiant le contenu des marmites retrouvées dans les
habitations, ils peuvent savoir quels aliments y ont été cuits, selon quelle recette. Ils
parviennent également à connaître l'aspect des campagnes anciennes, la succession des
forêts et des terroirs agricoles. L'étude des climats anciens fournit une image parfois
précise de l'environnement naturel et de l'action des groupes humains sur lui.
D'autres recherches portent sur les activités productrices et les courants commerciaux.
Des géologues identifient la provenance des roches utilisées pour la fabrication des outils

ou la construction des murs. Ils donnent ainsi une idée des échanges de matières
premières entre groupes humains parfois éloignés. Les informations fournies par
l'archéologie se multiplient dès lors que sont mises à contribution les différentes sciences
de la nature : géologie, biologie et chimie notamment. La collaboration entre archéologues,
scientifiques et artisans permet de restituer les techniques de fabrication, le degré de
spécialisation et de qualification atteint, l'organisation des ateliers ou des usines, ainsi que
les systèmes économiques qui en découlent. Ce sont là les domaines privilégiés de
l'archéologie expérimentale.
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Les corrélats
anthropologie
biologie
domestication
Les médias
archéologie - l'archéologie au musée
Les livres
archéologie - garniture de ceinture mérovingienne provenant d'une tombe située
près d'Hayange (Moselle), page 323, volume 1
archéologie - statue romaine dite de « Pacatianus «, page 324, volume 1
archéologie - reconstitution d'une poterie, page 324, volume 1
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Les corrélats
histoire
Les indications bibliographiques
A. Gallay, l'Archéologie demain, Belfond, Paris, 1986.
C.-A. Moberg, Introduction à l'archéologie, Maspero, Paris, 1976.
A. Schnapp, l'Archéologie aujourd'hui, Hachette, « Bibliothèque d'archéologie «,
Paris, 1980.

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