Kasim

« Ella BOUTIER 2 nd 5 Le périple de Kasim Ils crient dans leur langue et Kasim comprend qu’ils ont besoin d’aide.

Il s’approcha d’eux, il faisait encore sombre on ne voyait pas l’horizon.

Kasim ne savait pas ce que les hommes recherchaient, ils chassaient l’eau.

Alors le jeune homme les rejoignit et un moment plus tard il senti une petite main le frôler il l’attrapa et sans distinguer ce que s’était, il soulevât de toutes ses force, quand il eu réussi à remonter la chose à la surface la lueur de la lampe du passeur vint illuminer le visage d’un nouveau née.

Il devait certainement venir de l’embarcation précédente, quelque chose avait mal tourné il allait falloir être prudent.

Le passeur mis un bateau à l’eau, la famille à replié sa tente, la mère et les deux fillettes se sont positionner à l’avant du canoë pour éclairer le chemin ,, .

Les deux hommes parlant une langue inconnue se sont mis à droite et à gauche pour ramer à l’arrière du bateau, Kasim et le père se mirent au milieu pour ramer eux aussi. L’embarcation pris le large.

Il faisait très sombre, de la brume était tombé et on ne voyait pas plus loin qu’au devant de la barque.

Il y avait aussi un vent glacial qui sifflait.

Les deux fillettes tremblait dans les bras de leur mère .

La mère qui tant bien que mal essayer de faire taire le jeune bébé que Kasim lui avait confié tout en éclairant la route.

Il paru à Kasim qu’une éternité venait de passer quand il entendit le ronronnement d’une cascade, c’est là que touts ils comprirent, au lieu de traverser le fleuve ils avaient étés emportés par le courant.

Certainement comme la l’autre barque.

C’est ainsi que les deux hommes Kasim et les autres furent emportés dans un torrent la barque heurtât des rochers encore et encore, les fillettes se mirent à hurler et la mère serrait le plus fort qu’elle pouvait l’enfant.

Un tronc d’arbre vain s’abattre sur la barque qui fut briser.

Tout le monde était à l’eau, on ne voyait rien, le ciel paraissait être encore plus noir ! Qu’allait –il leur arriver ? Puis se fut la chute , puis plus rien, le trou noir.

Quand Kasim se réveillât il remarqua tout d’abord qu’il faisait jour, il n’y avait plus de brume, puis un vent doux sur sa peau lui rappelât la férocité du vent glacial qu’il y avait quand il été sur la barque.

Mais oui la barque, le passeur, le bébé, les hommes à la langue inconnue la famille, où étaient-ils tous ? Il ne savait pas lui-même où il était alors comment les retrouver ? Quand Kasim se releva il découvrit une gigantesque et magnifique cascade, au pied de laquelle il y avait beaucoup d’écume tellement l’eau tombait de très haut.

Au devant, de grand massifs, et lui il était sur une plage au sable très clair et derrière lui une forêt.

Puis il entendit un craquement, et puis un autre il allât voir s’il y avait quelqu’un, rien.

Il s’avançât dans la forêt et y découvrit la barque elle était déchirée un peu de partout et il y avait une rame dont l’extrémité était fendue.

Un bruit ramenât son regard vers l’embarcation, il en été presque sur : il y avait quelque chose sous la barque, quelque chose de vivant.

Il s’approcha et lentement soulevât le tissu encor mouillé.

Et une des deux fillettes poussa un cri de surprise, Kasim essaya de la rassurer, sans savoir si elle avait comprit puis il lui fit signe de la suivre, ce qu’elle fit.

Il regagnèrent la plage et suivirent la rive droite du fleuve.

Le vent s’était levait et des feuilles morte venait s’entasser sur les rochers.. »