Databac

Karen Blixen par Alan Chatham

Publié le 23/05/2020

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Karen Blixen par Alan Chatham de Bolivar Karen Christentze Dinesen naît le 17 avril 1885 à Rungstedlund, dans le Seeland, au Danemark, dans une famille de l'aristocratie danoise, riche et cultivée. Ce document contient 909 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.


BLIXEN Karen. Nouvelliste danoise. Née à Rungstedlund le 17 avril 1885, morte à Rungsted le 7 septembre 1962. Elle appartenait à une famille ayant des goûts littéraires prononcés : son père, le capitaine Wilhelm Dinesen, était également écrivain sous le pseudonyme de Bogdanis et son frère, Thomas Dinesen, a également, à travers une vie aventureuse, publié des souvenirs, des essais et des nouvelles. Dès 1907-1909, elle publia quelques contes sous le pseudonyme d’Osceola. Élève à l’École des Beaux-Arts entre 1903 et 1906, elle poursuivit des études artistiques à Paris en 1910 et à Rome en 1912 et séjourna longuement à Paris et en Angleterre avant d’épouser, en 1914, son cousin suédois, le baron Blixen-Finecke (dont elle divorça en 1922). De 1914 à 1931, elle vécut au Kenya, où elle possédait une plantation de café — de même que son frère. Ruinée, elle revint au Danemark, où elle se consacra à son œuvre littéraire, mais faisant également du journalisme : à Genève auprès de la Société des Nations en 1935, à Berlin en 1940, en Finlande en 1941. Son premier recueil, Sept contes gothiques (1934), écrit en anglais et publié sous le pseudonyme d'Isak Dinesen, remporta un vif succès en Angleterre et aux États-Unis. Elle le traduisit elle-même en danois l’année suivante. Elle continua à écrire, en règle générale en anglais, et à se « traduire » en danois, publiant en Angleterre sous le nom d’Isak Dinesin, au Danemark sous celui de Karen Blixen. Vinrent ainsi La Ferme africaine (1937), un deuxième livre de contes, Contes d’hiver [1942] et un roman « noir » dans le goût romantique, Les Voies de la vengeance (1944), publié sous le pseudonyme de Pierre Ândrézel. Écrivant souvent pour des magazines de langue anglaise, comme le Saturday Evening Post ou le Ladies Home Journal, elle réunit un nouveau volume de Derniers contes [Last Tales, 1957] qui fut suivi du Dîner de Babette (1958). Elle revint aux souvenirs africains avec Ombres sur la prairie (1958). Ont été publiés après sa mort Ehrengard (1963) et des Contes posthumes [1975] contenant des contes de diverses époques de sa vie, certains inédits, d’autres publiés en revue ou en plaquettes.

« Karen Blixen. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles