Heinrich Rickert1863-1936Philosophe allemand, professeur à Fribourg puis à Heidelberg.
Publié le 22/05/2020
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Heinrich Rickert1863-1936Philosophe allemand, professeur à Fribourg puis à Heidelberg. Ce document contient 80 mots soit 0 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.
«
Heinrich Rickert
1863-1936
Philosophe allemand, professeur à Fribourg puis à Heidelberg.
Représentant de l’École
néo-kantienne, il interprète la philosophie transcendantale dans l’optique de la fondation de
l’objectivité scientifique, ce qui l’amène à caractériser, par opposition, l’objectivité des
sciences historiques et humaines.
Dans son ouvrage Logik des Prädikats und das Problem der
Ontologie (1930), il revient sur la théorie des catégories comme constituante ultime de
l’ontologie. Der Gegenstand der Erkenntnis (1892 ), Die Grenzen der naturwissenschaftlichen
Begriffsbildung (1902), Kulturwissenschaft und Naturwissenschaft (1899)..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Walther Bothe1891-1957Physicien allemand, professeur à Heidelberg.
- Heinrich Heine par Maxime Alexandre Écrivain allemand, il a vécu en France
- Paul Natorp1854-1924Philosophe allemand, professeur à Marbourg, disciple d'Hermann Cohen ; il étenditl'interprétation de Kant par Cohen à une relecture de l'histoire de la philosophie.
- Hans-Georg Gadamerné en 1900Élève de Heidegger, professeur à Heidelberg, on lui doit l'élan donné au courantherméneutique de la philosophie.
- Au cours d'un entretien, l'écrivain allemand Heinrich Böll fit cette remarque : « ... J'ai l'impression qu'en Allemagne comme ailleurs, des jeunes gens pourtant très sérieux commencent à sous-estimer la poésie. Au point que l'on peut craindre qu'elle ne finisse dans une poubelle... Je crois que ce serait un crime non seulement esthétique, mais encore social et politique, car la poésie est aussi un extraordinaire moyen de combat ou de résistance, en même temps qu'un point d'appui incomp