HAREM

« HAREM Réalisation et scénario ........ ......... ..........

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Arthur JOFFÉ (1985) Adaptation et dialogues ..........................

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A.

JOFFÉ, T.

RA YFIEL Pasqualino DE SANT IS Philippe SARD E Alexandre TRAUNER Olga BERLUTTI Directeur de la photographie ......................

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Musique .......................................

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Décors . ... ....... .... ........ ............. ....

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Costumes ...... .................... ............

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Production ... ...

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Sara Films Distribution ... .................................

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U.G.C.

Durée 113 minutes INTERPRÉTATION Diane ... ........ ...... .......... ........ ......

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Nastassja KINSKI Ben KINGSLEY Dennis GOLDSON Zohra SEGAL Michel ROBIN Juliett e SIMP SON Rosanne KATON Selim .................. ...... ...........

· · · · · · · · Massoud ......... ....... .....

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Affaf . ........ ........ ....... ......... ..... ....

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Monsieur R aou l . ..... .... .......................

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Zelide ...... ....

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Judy ............................ .......... ..

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L'HISTOIRE New York.

Diane, jeune Américaine moderne et indépendante, assiste au mariage d'une de ses amies , dans une petite église, près des quais.

Puis, alors que tous les invités pren­ nent le ferry-boat, Diane s'attarde un peu et rate le bateau.

Le propriétaire d'un petit chalut ier lui propose de l'emme n er.

Commence alors pour la jeune femme la plus étrange des histoires.

Un conte de fées, diraient certains..

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Ou bien au contraire , un mauvais rêve? ...

En effet , Diane vient d'être kidnappée et va se retrouver au beau milieu du désert d'un pays arabe, à la porte du palais d'un prince.

Di ane est d'abord prise en charge par Massoud, un gros oriental qui parle par énigmes et lui dit qu'elle est au seuil du bonheur suprême.

Une fois à l'intérieur du palais, Massoud place Diane au milieu d'une foule de jeunes femmes qui appar­ tiennent toutes au prince de ces lieux.

Et Diane commence à tomber dans une autre dimension, totalement inconnue d'elle jusqu'alors: le temps n'a plus d'importance , on le sent à peine s'écouler dans cette demeure complètement iso­ lée du monde , entre le riche décor des mille et une nuits et les vapeurs du hammam ...

Diane attend qu'on la présente au prince , mais elle est encore très occidentale, laisse voir son irritation et veut bouscu le r l es lents rituels de ces lieux.

Enfin, le prince Selim daigne la recevoir - Diane a été, entretemps, maquillée et métamor­ phosée en orienta l e.

Mais, curieuseme nt, la jeune femme découvre un homme inquiet, pres­ que torturé, d'un romantisme d'un autre âge.

Selim lui explique que lors d'un de ses voyages à New York, il l'avait remarquée, suivie et photo­ graphiée partout.

Les défenses de Diane com­ mencent à tomber , et elle va progressivement s'attacher à cet homme hors du commun.

Selim ne lui fait aucun chantage, et la laisse libre de choisir.

Après sa mort accidente lle, Diane repartira pour New York.

Mais ce ne sera plus tout à fait la même femme qui retrouvera bruta­ lement la «civilisation » et les rues de Manhattan.

LA PETIT E HISTOIRE HAREM.

premier long métrage d'Arthur Jojjë - 30 ans -a cons1i111é un énorme défi pour ce jeune réalisat eur qui n'avait pour toute expé­ ri ence que trois courts métrages (dont le dernier .

CASTING .

fia présenté au Festival de Cannes 83, dans le cadre des «Perspectives du Cinéma Français») .

Joff é reconnaît lui-même : « Tourner CASTING pour /'J.N.A.

en 16 mm, puis diriger une équipe de 200 personnes parlant quatre /an- gues différentes.

ce n'étai1 pas évident! C'éwit un baptême imégral de réalisateur!» Ce défi, c'étai t ~ aussi celui du producteur Alain Sarde qui a investi E 10 milliards de ce111imes dans HAREM (soit :~ /'équivalent de 10 longs mé1rages français) pour ~ donner au film la dimension internationale qu'il gi méri1ait.

Pour les extérieurs , le film a été tourné à g Ouarzazate , au Maroc .

E @. »