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Grégoire.

Publié le 08/12/2021

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Grégoire. nom de seize papes et d'un antipape de l'Église catholique romaine, entre le VIe
et le XIXe siècle.

Grégoire Ier.
dit le Grand, saint, vers 540-604, né à Rome, pape de 590 à 604. Intervenant fermement
dans le gouvernement de Rome, il fut l'un des fondateurs du pouvoir temporel des papes
face aux prétentions de Constantinople et face aux Lombards, dont il prépara la
conversion. Par ses écrits et ses réformes liturgiques, il réorganisa le gouvernement
intérieur de l'Église et contribua beaucoup à son extension en Europe. L'école de chantres
qu'il établit à Rome répandit le chant grégorien (voir aussi cet article).

Grégoire VII,
saint, vers 1020-1085, né à Soana (Toscane), pape de 1073 à 1085. Il avait été
précédemment moine sous le nom d'Hildebrand. Grégoire VII demanda et obtint, en 1059,
que l'élection du pape fût faite par les cardinaux sans que l'empereur intervînt et, quand il
fut pape, il exigea, en 1074, le célibat des prêtres. En défendant le droit de décision de
l'Église au sujet de la collation des titres ecclésiastiques, il s'engagea dans une longue lutte
avec l'empereur Henri IV (la querelle des Investitures), lutte qui se termina, après
l'humiliation de l'empereur à Canossa, par l'exil de Grégoire VII. Pourtant, ses efforts
eurent finalement des conséquences essentielles pour l'Église, et son nom reste attaché à
la grande réforme grégorienne qui posa les bases de l'indépendance de l'Église face aux
pouvoirs séculiers.

Grégoire XVI
(Fra Mauro Cappellari), 1765-1846, né à Belluno, pape de 1831 à 1846. Adversaire du
libéralisme, il réprima avec l'appui de l'Autriche les mouvements révolutionnaires dans les
États pontificaux (1831-1832). Il condamna le catholicisme libéral de Lamennais dans les
encycliques Mirari vos (1832) et Singulari nos (1834). C'est de son pontificat que date
l'essor des missions au XIXe siècle.

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