Fugard, Athol.
Publié le 06/12/2021
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Fugard, Athol.
Fugard, Athol (1932- ), auteur dramatique, metteur en scène et acteur sud-africain dont les oeuvres traitent essentiellement de la situation politique en Afrique du Sud.
Les pièces de Fugard mettent en scène des conflits entre des personnages appartenant à différents milieux. Il explore les thèmes du racisme et de la répression mais célèbre également le courage et la résistance de l'esprit humain. Son analyse porte
sur deux niveaux : celui du système de ségrégation raciale de l'apartheid et celui de la civilisation en général.
Né à Middleburg, Athol Fugard fréquente l'université du Cap et fonde un groupe d'expérimentation théâtrale à Port Elizabeth, qui, en 1959, met en scène sa première pièce No good Friday. La pièce The Blood Knot (le Noeud de sang) lui vaut, en 1961,
une renommée internationale. Cette pièce, avec Hello and Goodbye (Salut et au revoir, 1965) ainsi que Boesman and Lena (Boesman et Lena, 1969), constitue une trilogie qui décrit les relations familiales à Port Elizabeth. Athol Fugard est l'auteur de
nombreuses autres pièces dont Sizwe Bansi is Dead (Sitwe Bansi est mort, 1972), The Island (l'Île, 1973), A Lesson from Aloes (Leçon pour un aloés, 1978), Master Harold... and the Boys (Maître Harold théâtre, 1982), The Road to Mecca (la Route de
Mecca, 1984), My Children, My Africa (1988), Playland (1992) et Valley Song (1995). La plupart d'entre elles ont été produites un peu partout dans le monde et ont été saluées unanimement par les critiques. Ses Notebooks (Carnets, 1984) insiste sur
le rôle fondamental de l'artiste dans une situation politique insoutenable.
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Fugard, Athol.
Fugard, Athol (1932- ), auteur dramatique, metteur en scène et acteur sud-africain dont les oeuvres traitent essentiellement de la situation politique en Afrique du Sud.
Les pièces de Fugard mettent en scène des conflits entre des personnages appartenant à différents milieux. Il explore les thèmes du racisme et de la répression mais célèbre également le courage et la résistance de l'esprit humain. Son analyse porte
sur deux niveaux : celui du système de ségrégation raciale de l'apartheid et celui de la civilisation en général.
Né à Middleburg, Athol Fugard fréquente l'université du Cap et fonde un groupe d'expérimentation théâtrale à Port Elizabeth, qui, en 1959, met en scène sa première pièce No good Friday. La pièce The Blood Knot (le Noeud de sang) lui vaut, en 1961,
une renommée internationale. Cette pièce, avec Hello and Goodbye (Salut et au revoir, 1965) ainsi que Boesman and Lena (Boesman et Lena, 1969), constitue une trilogie qui décrit les relations familiales à Port Elizabeth. Athol Fugard est l'auteur de
nombreuses autres pièces dont Sizwe Bansi is Dead (Sitwe Bansi est mort, 1972), The Island (l'Île, 1973), A Lesson from Aloes (Leçon pour un aloés, 1978), Master Harold... and the Boys (Maître Harold théâtre, 1982), The Road to Mecca (la Route de
Mecca, 1984), My Children, My Africa (1988), Playland (1992) et Valley Song (1995). La plupart d'entre elles ont été produites un peu partout dans le monde et ont été saluées unanimement par les critiques. Ses Notebooks (Carnets, 1984) insiste sur
le rôle fondamental de l'artiste dans une situation politique insoutenable.
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