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Fellini Federico

Publié le 07/12/2021

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Fellini Federico Cinéaste italien

 

* 20.1.1920, Rimini + 31.10.1993, Rome Les oeuvres de jeunesse du coscénariste de Roberto Rossellini (\"Rome ville ouverte\", 1945, premier exemple du néo-réalisme) sont tout naturellement influencées par cette illustre école cinématographique italienne. \"Les Feux du music-hall\" (1951) ou \"Les Vitelloni\" (1953), aux thèmes puisés dans les souvenirs d'enfance, les fantasmes et l'observation de la vie quotidienne par le cinéaste, font déjà allusion à son univers personnel, celui du spectacle et de la condition humaine. En 1954, \"La Strada\" (avec Anthony Quinn), triste chronique de la vie du saltimbanque Zampano, rend Fellini célèbre dans le monde entier et marque son adieu au néo-réalisme. Les films suivants, souvent réalisés aux studios de Cinecittà à Rome avec la même équipe (l'acteur Marcello Mastroianni et le compositeur Nino Rota), illustrent la solitude de l'homme et l'aliénation de la femme par le biais de personnages à la fois maîtres et victimes d'une société décadente, objet de critiques acerbes et ironiques de cette figure mythique du cinéma baroque (\"La Dolce Vita\", 1960 ; \"Huit et demi\", 1963 ; \"Satyricon\", 1969 ; \"Roma\", 1972 ; \"Amarcord\", 1973 ; \"Casanova\", 1976 ; \"La Cité des femmes\", 1980 ; \"Intervista\", 1987 ; \"La Voce della luna\" 1990). Plusieurs des films de Fellini sont consacrés par la profession (\"La Dolce Vita\", palme d'Or à Cannes en 1960).


« \HDLN0000100073 \LINK0012500134PE_0845T \LINK0059100595PE_0813T \LINK0083800848PE_0647T Fellini Federico Cinéaste italien * 20.1.1920, Rimini + 31.10.1993, Rome Les oeuvres de jeunesse du coscénariste de Roberto Rossellini ("Rome ville ouverte", 1945, premier exemple du néo-réalisme) sont tout naturellement influencées par cette illustre école cinématographique italienne.

"Les Feux du music-hall" (1951) ou "Les Vitelloni" (1953), aux thèmes puisés dans les souvenirs d'enfance, les fantasmes et l'observation de la vie quotidienne par le cinéaste, font déjà allusion à son univers personnel, celui du spectacle et de la condition humaine.

En 1954, "La Strada" (avec Anthony Quinn), triste chronique de la vie du saltimbanque Zampano, rend Fellini célèbre dans le monde entier et marque son adieu au néo-réalisme.

Les films suivants, souvent réalisés aux studios de Cinecittà à Rome avec la même équipe (l'acteur Marcello Mastroianni et le compositeur Nino Rota), illustrent la solitude de l'homme et l'aliénation de la femme par le biais de personnages à la fois maîtres et victimes d'une société décadente, objet de critiques acerbes et ironiques de cette figure mythique du cinéma baroque ("La Dolce Vita", 1960 ; "Huit et demi", 1963 ; "Satyricon", 1969 ; "Roma", 1972 ; "Amarcord", 1973 ; "Casanova", 1976 ; "La Cité des femmes", 1980 ; "Intervista", 1987 ; "La Voce della luna" 1990).

Plusieurs des films de Fellini sont consacrés par la profession ("La Dolce Vita", palme d'Or à Cannes en 1960). 1. »

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