Fausse couche

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100 des grossesses s'interrompent spon- tenement pendant les premiers mots de leur evolution. Pourtant le nombre des fausses couches est sans doute sous-estime :les avortements sont frequemment si pre- coces gulls passent inapercus (simple retard de recites). Mais si l'avortement spontane est souvent accidentel et banal, it prend chez certaines femmes un caractere habl- tuel et se repete a cheque grossesse, realisant une veri- table sterIllte permanente.

Aortas deux avortements soon- teats consecutifs, les chances devolution normale d'une grossesse ulterieure ne sont plus que de 50 p.

100. 2 Le developpement de la vIvIparite est un stade deter- minant de revolution aboutissant aux mammiferes actuels. Ce mode de reproduction soustralt l'csuf a un nombre considerable de rIsques.

Mais sa survie n'est pas pour autant assuree.

L'Influence du milieu exterleur reste sen- sible, et Ia barriers placentaire est assez permeable pour que les mecanIsmes regulateurs solent vulnerables.

D'au- tre part, l'appareil chromosomique risque d'être alter& 3 Les etudes recentes ont montn§ qu'un ceuf abortif cur clnq presente de tam importantes anomalies chromate,- miques.

Les conditions requires pour une replication nor- male des chromosomes sont strictes.

Des mutations sur- venant precocement peuvent empecher la differentiation cellutaire et entrainer la mod de l'embryon dans les premiers jours.

Le plus souvent, ces alterations laissent la possibilite d'un developpement limits :ce sont les stades ulterieurs de rorganogenese qui sont (levies. 4 La preparation de Ia muqueuse uterine a la nidation et le maintien de rceuf sont sous la dependance de Ia progesterone et des ontrogenes.

Un trouble hormonal peut ainsi entrainer des « avortements endocriniens )), par insuffisance (avortement« primitif ouparce que le trouble est subordonne a une autre cause, mais reste to facteur declenchant Ia fausse couche. Fausse couche 1 Plus de 10 p.

100 des grossesses s'interrompent spon­tanément pendant les premiers mois de leur évolution.

Pourtant le nombre des fausses couches est sans doute sous-estlmé : les avortements sont fréquemment si pré­ coces qu'ils passent inaperçus (simple retard de régies).

Mais si l'avortement spontané est souvent accidentel et banal, il prend chez certaines femmes un caractère habi­ tuel et se répète à chaque grossesse, réalisant une véri­ table stérilité permanente. Après deux avortements spon­ tanés consécutifs, les chances d'évolution normale d'une grossesse ultérieure ne sont plus que de 50 p.

100.

2 Le développement de la viviparité est un stade déter­ minant de révolution aboutissant aux mammifères actuels.

Ce mode de reproduction soustrait l'œuf à un nombre considérable de risques.

Mais sa survie n'est pas pour autant assurée. L'influence du milieu extérieur reste sen­ sible, et la barrière placentaire est assez perméable pour que les mécanismes régulateurs soient vulnérables. D'au­ tre part, l'appareil chromosomique risque d'être altéré.

3 Les études récentes ont montré qu'un œuf abortif sur cinq présente de très importantes anomalies chromoso­ miques. Les conditions requises pour une réplication nor­ male des chromosomes sont strictes.

Des mutations sur­ venant précocement peuvent empêcher la différenciation cellulaire et entraîner la mort de l'embryon dans les premiers jours.

Le plus souvent, ces altérations laissent la possibilité d'un développement limité : ce sont les stades ultérieurs de l'organogénèse qui sont déviés.

4 La préparation de la muqueuse utérine à la nidation et le maintien de l'œuf sont sous la dépendance de la progestérone et des œstrogènes. Un trouble hormonal peut ainsi entraîner des « avortements endocriniens », par insuffisance (avortement « primitif ») ou parce que le trouble est subordonné à une autre cause, mais reste le facteur déclenchant la fausse couche. 2 / 2. »