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Fatigue

Publié le 16/05/2020

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« 1 / 2 Fatigue 1 La fatigue est une reaction subjective, penible ou douloureuse, a une activite excessive et prolongee.

Cette definition de dictionnaire a grand besoin aujourd'hui d'être Margie.

Les manifestations de Iafatigue sont aussi complexes que ses causes.

Pour simplifier, on pane de fatigue physique et de fatigue menials ou intellectuelle.

Ses sources reconnues vont bien au-dela des « activites excessives etprolongees » ; lesfacteurs emotionnels, frustration, anxiete,degout, jouent un role important ; encore plus grand est celui des conditions concretes d'existence.

La fatigue ne peut pas etre deduite automati- quement du sentiment individuel ni de revaluation objec- tive de la tache ; c'est un phenomene a la fols physio- logique, psychologique et social. 2 Du point de vue physiologique, on trouve d'abord la fatigue musculaire, resultant d'un desequilibre entre ('effort exige de l'organisme et ses possibilites.

Des phenomenes thermiques, mecaniques, chimiques, metaboliques, sont intimement lies dans Ia fatigue musculaire qui est déjà a ce niveau un phenomene global.

On connait les rapports entre le metabolisme des hydrates de carbone, le systems sympathique, et la fatigue et ses consequences d'ordre psychologique :obnubilation, diMculte de concentration, aboulie, Oats depressifs. 3 Suivant lesidees du neurophysiologiste americain Walter Cannon, it resulte que rinteret, la poursuite d'un but ont un effet stimulant sur le systerne sympathique. Ainsi, chez les sujets atteints de « fatigue y aurait une predominance du tonus parasympathique, d'oir une secretion accrue de l'insuline et une moindre disponibilite d'hydrates de carbone, source d'energie pour ractivite musculaire.

Mais, en tant que phenomene global, Ia fatigue ne tient pas au seui metabolisme des hydrates de car- bone.

De meme, a la participation du systeme sympa- thique, s'ajoute celledes hormones, surtoutcortico- surrenales, et du systems nerveux central. Fatigue 1 La fatigue est une réaction subjective, pénible ou douloureuse, à une activité excessive et prolongée. Cette définition de dictionnaire a grand besoin aujourd'hui d'être élargie. Les manifestations de la fatigue sont aussi complexes que ses causes. Pour simplifier, on parle de fatigue physique et de fatigue mentale ou intellectuelle.

Ses sources reconnues vont bien au-delà des «activités excessives et prolongées » ; les facteurs émotionnels, frustration, anxiété, dégoût, jouent un rôle important ; encore plus grand est celui des conditions concrètes d'existence.

La fatigue ne peut pas être déduite automati­ quement du sentiment individuel ni de l'évaluation objec­ tive de la tâche ; c'est un phénomène à la fois physio­ logique, psychologique et social.

2 Du point de vue physiologique, on trouve d'abord la fatigue musculaire, résultant d'un déséquilibre entre l'effort exigé de l'organisme et ses possibilités. Des phénomènes thermiques, mécaniques, chimiques, métaboliques, sont intimement liés dans la fatigue musculaire qui est déjà à ce niveau un phénomène global.

On connaît les rapports entre le métabolisme des hydrates de carbone, le système sympathique, et la fatigue et ses conséquences d'ordre psychologique : obnubilation, difficulté de concentration, aboulie, états dépressifs.

3 Suivant les idées du neurophysiologiste américain Walter Cahnon, il résulte que l'intérêt, la poursuite d'un but ont un effet stimulant sur le système sympathique.

Ainsi, chez les sujets atteints de «fatigue», il y aurait une prédominance du tonus parasympathique, d'où une sécrétion accrue de l'insuline et une moindre disponibilité d'hydrates de carbone, source d'énergie pour l'activité musculaire. Mais, en tant que phénomène global, la fatigue ne tient pas au seul métabolisme des hydrates de car­ bone.

De même, à la participation du système sympa­ thique, s'ajoute celle des hormones, surtout cortico- surrénales, et du système nerveux central. 2 / 2. »

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