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Explication linéaire discours final princesse de clèves

Publié le 07/03/2022

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« Explica (on linéaire .

La Princesse de Clèves, 4ème par (e.

Le discours de résolu (on finale.

De « j’avoue que les passions peuvent me conduire » jusqu’à « il faut que je demeure dans l’état où je suis et dans les résolu ;ons que j’ai prises de n’en sor ;r jamais » Dans ce passage situé à la fin du roman, la princesse argumente et explique les raisons pour lesquelles elle refuse de se lier à M.

de Nemours, qui l’écoute non sans peine.

Elle lui présente les inconvénients du mariage avec un galant tel que lui .

Auparavant, le duc a protesté.

-La princesse ne répond pas longuement à ce Ge plainte du duc qui l’accuse de ne pas l’aimer su ffisamment.

-Tout juste fait-elle une concession : « j’avoue que les passions peuvent me conduire » : elle admet implicitement aimer le duc. 1)Elle poursuit son argumenta (on en s’appuyant sur sa lucidité « mais elles ne sauraient m’aveugler » -par un renversement augmenta ;f introduit par le connecteur d’opposi ;on « mais », « mais elles ne sauraient m’aveugler ». -par l’emploi de la métaphore de l’aveuglement qui signi fie qu’elle ne se laisse pas éblouir par l’amour, qu’elle n’en n’oublie pas ses principes. - elle u ;lise le verbe « connaître », ampli fié par une litote « rien ne me peut empêcher de connaître »: elle sait combien le duc est charmant, plaît et aime plaire aux femmes.

Elle connaît M.

de Nemours, elle sait que c’est un galant, un séducteur.

Ce verbe connaître met l’accent sur la connaissance de soi et d’autrui; c’est une vertu qui permet de conduire sa vie, ici, de refuser de s’engager dans une voie qui la fera sou ffrir.

Elle veut être maîtresse d’elle- même , ce qu’elle prouvait déjà plus haut :« et puis-je me me Gre en état de voir finir ce Ge passion »; l’emploi de la forme pronominale « me me Gre » souligne sa propre responsabilité dans ce qui risque de lui arriver si elle épouse De Nemours.

2)Elle poursuit par un raisonnement prouvant que le duc la fera sou ffrir si elle l’épouse .

-elle illustre son propos, l’in fidélité naturelle du duc, en faisant l’éloge de son charme pour me Gre en évidence, son goût pour la galanterie, à l’aide d’hyperboles et un vocabulaire méliora ;f « toutes les disposi ;ons pour la galanterie et toutes les qualités qui sont propres à y donner des succès heureux ».

-elle raisonne et an ;cipe la suite de leur union (à l’aide du condi ;onnel) , a fin de le convaincre, en se servant de la vie passée du duc, et prouver qu’il sera nécessairement in fidèle: les proposi ;ons sont juxtaposées, l’asyndète sous-entend des liens de conséquence : « vous avez déjà eu plusieurs passions; (donc)vous en auriez encore; (donc)je ne ferais plus votre bonheur; je vous verrais pour une autre...

» -les formes néga ;ves « je ne ferais plus votre bonheur » , « je ne serai pas même assurée de n’avoir point le malheur de la jalousie » et les an ;thèses entre « bonheur »et « malheur », « douleur », expriment la peur de l’in fidélité et de la jalousie -ce Ge peur de sou ffrir est forte, la litote « je ne serais pas même assurée de n’avoir point le malheur de la jalousie » et l’hyperbole « une douleur mortelle »en témoignent.

-la princesse donne un exemple de la sou ffrance due à la jalousie qu’elle a précédemment éprouvée et u;lise encore une fois une hyperbole pour jus ;fier ses craintes : « c’est le plus grand de tous les maux ». Elle reprend l’argument de l’inconstance prévisible de Nemours parce qu'il plaît aux femmes: hyperbole "toutes les femmes souhaitent de vous a Gacher" litote hyperbolique:"il n' y en a point à qui vous ne puissiez plaire";subjonc ;f de probabilité.

3) Elle énumère les conséquences pénibles de leur mariage : a) -la conséquence prévisible pour la princesse est celle de sa propre jalousie :. »

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