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Étude linéaire: Albatros de Baudelaire (exposé)

Publié le 16/10/2023

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« Charles Baudelaire, poète du 19 siècle, fait partie du mouvement littéraire romantisme.

Le poème L'Albatros, de Charles Baudelaire, est extrait de la section "Spleen et idéal", du recueil Les Fleurs du mal publié en 1857, raconte le quotidien d'un albatros des mers.

L'image de l'albatros capturé évoque l'idée d'un être totalement étranger au monde qui l'entoure.

Baudelaire faisait partie de la génération des poètes maudits, c'est-à-dire non compris par les gens de son époque. *LECTURE* Nous nous demanderons donc comment Baudelaire évoque-t-il sa condition d’homme et de poète ? Nous verrons dans un premier temps d’élégance, de l’albatros en vol, v.1 à 4.

Puis, dans un second temps, la vulnérabilité de l’albatros sur la terre ferme, v.

5 a 12.

Et enfin, nous verrons la figure du poète, à travers celle de l’albatros, v.12 a 15 Passons maintenant, au premier mouvement du vers 1 à 4 : l’élégance de l’albatros envole Avant tout, on peut apercevoir, dès le titre, une dualité du poète « Alba », qui signifie blanc est « atere » qui signifie noir.

Les quatre verres de la première strophe forment une seule et longue phrase riche, qui montre la majesté et la grandeur de l’oiseau. Ces vers riches en allitération en [v], et qui mime le vole de l’albatros montre qu’il est a l’aise dans les airs, ainsi que majestueux.

Or, l’adverbe de fréquence « Souvent » au vers 1, souligne que ce qui sera racontée par la suite semble habituelle, mais pas joyeux.

En effet, le verbe « prennent » au vers .2 montre, qu’en réalité les marins capture des albatros et prennent plaisir à faire cela.

De plus, la périphrase hommes d’équipage, qui signifie ici les marins, désigne, en réalité les hommes de la société. Contrairement à ces hommes, l’oiseau apparaît comme inoffensif, comme le souligne le verbe « suivent » v.3.

Il ne cherche pas à nuire aux hommes, il est bien question de compagnon. Passons maintenant au 2e mouvement : la vulnérabilité de l’oiseau sur la terre ferme, v.

5 à 12. Dans les strophes deux et trois l’oiseau est mis à terre et maltraité par les hommes. On retrouve une phrase assez longue qui représente la maladresse de l’oiseau sur terre.

A partir de l’adverbe « à peine » à la fin de la phrase, on peut voir la rapidité de la transformation de l’animal.... »

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