En quoi consiste la conception de l'existence de meursault du monde ?

« Albert Camus est naît en Algérie.Celui ci est un grand écrivain et philosophe français.

Écrivain de l'absurde Il est récompensé par le Prix Nobel de littérature en 1957 grâce à son roman letranger, racontons la méchanceté du quotidien et la folie des hommes.

Nous analyserons donc la fin de ce roman que l’on appelle l'explicite. En quoi consiste la conception de l'existence de meursault du monde? Dès la première ligne, Meursault nous fait comprendre qu’il se révolte contre la conception du monde.

“ alors je ne sais pas pourquoi il y a quelque chose qui a créé en moi” , on retrouve donc pour la première fois une expression de ces sentiments durant l'ouvrage, celle de la colère, ceci grâce à l'utilisation d’un champ lexical de la violence et de la colère.

A la ligne 2, “je me suis mis à crier à plein gosier et je l’ai insulté et je lui ai dis de ne pas prier” , nous retrouvons encore l’utilisation de ce champ lexical de la colère, Meursault partage donc sa pensée athée puisqu'il refuse la religion, il refuse la charité charité et donc refuse d’avoir des valeurs.

A la ligne 3 ‘ ’je l’avais pris par le collet de sa soutane’ ’, le lecteur comprends que meursault manque d’empathie de respects et de valeur on constate donc le début d’une opposition entre le prêtre et meursault, celui ci est violent contrairement au prêtre qui lui reste pacifique.

A la ligne 4, ”je déversait sur lui tout le fond de mon coeur avec des bondissements mêlés de joie et de colère." , meursault utilise une métaphore filée, faisant comprend qu’il a additionné toute sa haine pour la déversait sur le prêtre, on découvre donc le côté sadique à meursault puisqu'il prend plaisir a faire souffrir le prêtre, on le comprends grâce à l'antithèse, et la contradiction des émotions, la colère se transforme en joie.

A la ligne 5, “il avait l’air si certain, n'est ce pas” Meursault est provocateur.

A la ligne 5, “Pourtant aucune de ses certitudes ne valait un cheveux de femme” , meursault valorise donc les sensations, qui est en contradiction avec le pretre puisque cela est péché.

A la ligne 6 “‘il n’était même pas sûr d'être en vie puisqu'il vivait comme un mort” , nous retrouvons la pensée athéiste de meursault.

A la ligne 7, “ Moi j'avais l’air d’avoir des mains vides mais j'étais sûr de moi, sur de tout plus sûr que lui ”, une répétition du pronom moi, nous indique que meursault prends conscience de son existence et s’affirme en tant qu’individu, et il s’oppose encore une fois au prêtre, moi et lui, le prêtre pacifique et lui les mains vides pret d'utiliser la violence à tout moment pour faire taire le prêtre.

“sur de cette mort qui allait venir’’ , on retrouve l'omniprésence de la mort dont on parlera plus tard.

A la ligne 8 à 10,".

J'avais vécu de telle façon et j'aurais pu vivre de telle autre.

J'avais fait ceci et je n'avais pas fait cela.

Je n'avais pas fait telle chose alors que j'avais fait cette autre ” meursault est très excentrique et n’écoute que lui même, personne ne pourra donc le raisonner, la repetition du verbe faire prouve le fait que meursault ne fais pas attention a ses actes, ceci n’est pas important pour lui, une nouvelle opposition entre lui et le pretre se met en place puisque dans le. »