Emile zola

« Émile Zola est un écrivain du 19eme siècle .

Il était considérer comme un chef de fil du naturalisme qui est son mouvement littéraire .

A travers cette extrait du chapitre XII , de l’œuvre « L'assommoir » , Zola appuie sur l’effondrement de la vie de Gervaise , qui est l’héroïne de l’œuvre .

Elle rencontra des difficultés tout au long de cette effondrement brutal .

Un changement qui passera par des étapes de conscience et de réflexion de la part de l’héroïne .

Cependant nous pouvons donc nous demander comment Zola à travers ce passage , arrive t' il a nous démontrer l’ampleur de l'échec dans une vie ? Nous analyserons donc dans un premier temps le caractère pathétique du personnage puis dans un seconds temps nous aborderons les effets du décor qui joue un rôle important sur les sentiments , puis dans un derniers temps nous démontrerons l'humiliation et la vulnérabilité de la conscience a travers l'échec du personnage .

Dans cette seconde , nous analyserons le fait que le décor joue un rôle important dans la chute et l’effondrement de Gervaise.

En effet , Zola joue beaucoup sur le ton des couleurs , prenons la ligne 5 , « Elle vit que la nuit était noire » , ici , on peut constater une accentuation importante sur le mot «la nuit » qui ne peut être d'une autre couleur que noire mais malgré ce détail Zola a quand même pris le fait de nous le rappeler .

C'est comme si le monde n'avait d'autre couleur que la noirceur , cette effet est une sorte de représentation de la douleur et la souffrance de Gervaise .

Puis , nous avons la ligne 9 , « Sur ce large trottoir sombre et désert .

» Cette ligne a un contenu assez expressif .

En effet , « Sombre » nous fait revenir à toute cette souffrance ressentie par l’héroïne décrit dans notre première exemple mais cependant l'utilisation du mot « Désert » nous fait comprendre beaucoup de choses sur le personnage.

C'est à dire , s'est comme si l’héroïne ne voyait plus d'issus face à cette échec .

Comme si le vide se trouvait face à elle .

Enfin nous avons ligne 11 , « le sol glacé » , un décor glacial qui reflet l'image de la vulnérabilité de l’héroïne face à sa situation .

En effet , le fait de se retrouver à la rue , seul et perdu face au regard des gens projeter une image de honte .

Zola introduit tout au long du passage des personnages étranges qui rendent le texte inhabituel .

En effet , ligne 12 « Il y 'en avait une , au tronc énorme avec des jambes et des bras d’insecte débordante et roulante dans une guenille de soie noire , coiffé d'un foulard jaune » , ce personnage intensifie la valeur vulgaire de la rue .

Zola a voulu rendre la situation plus dure et plus écœurante face au personnage principal .

Zola nous démontre bien par rapport au décor qu'un seul échec peut atteindre moralement une personne. Dans cette troisième partie , nous aborderons le fait que la conscience du personnage principal est atteinte et que l'humiliation de l'échec à un ampleur fondamental sur la vie du personnage . Nous pouvons parler d'une conscience atteinte car l'échec ne laisse jamais la conscience tranquille.

En effet , il pousse souvent vers l'absurdité et des choses auxquelles nous ne pensons jamais en tant de situation normal .

En effet , ligne 6 , « C’était l'instant d'avoir du cœur et de se montrer gentille » ici , l’héroïne se soumet à. »