Eldorado

« Introduction Ce livre est composé de treize chapitres.

La particularité est que les chapitres 1, 3, 5, 7, 9, 11, 13 racontent l’histoire d’un commandant, Salvatore Piracci, qui arrête les clandestins tentant de se rendre en Europe par la mer avec des embarcations de fortune, du moins au début du roman.

Les chapitres 2, 4, 6, 8, 10, 12 évoquent l’histoire de Soleiman, migrant qui veut se rendre en Europe.

Ces deux récits sont en simultanée, et au cours du livre cela peut surprendre car le commandant fait exactement l’inverse du migrant. Résumé critique Dans la partie du commandant Salvatore Piracci, l’histoire débute lorsque le commandant est à Catane.

Salvatore commande donc un navire de l’armée qui arrête les clandestins tentant de se rendre en Europe à Lampedusa.

Il patrouille en mer à la recherche de barques surchargées de clandestins.

Un jour, le commandant se sent épier par quelqu’un.

Il tente de savoir de qui il s’agit en faisant des mouvements inattendus pour surprendre son guetteur.

Il s’agit d’une femme, qui était une clandestine, qui vient lui demander une arme pour se venger de Hussein Marouk, l’organisateur de ces traversés.

C’est au cours de l’une d’entre elle perdit son fils.

Cet épisode est le premier pas du commandant vers les clandestins, le second fut lorsqu’il arrêta une autre arrivée de clandestins mais il ne put sauver que deux barques sur cinq.

Il se rendit compte de l’atrocité des gens comme Hussein Marouk.

Lors de cette arrestation, un clandestin lui demanda de le sauver et Salvatore Piracci refusa.

Il eut donc du remord de ne pas l’avoir fait car cela n’aurait rien changé.

Les accompagnateurs de ces clandestins étaient des libanais que le commandant frappa pour avoir laissé mourir trois convois.

Après cela, il décida de ne pas aller au rendez-vous fixer par l’état-major en raison de son comportement envers le libanais.

Il décida de quitter sa vie, de partir à la conquête de L’Eldorado.

Il prévint donc son seul ami, Angelo, et partit seul en pleine nuit vers son rêve.

Il se réveilla dans une prison d’un poste de police de quartier où il fut interrogé à plusieurs reprises, mais il ne répondit qu’au troisième interrogatoire.

Il fut ensuite amené par un policier devant la reine d’Al-Zuwarah, la vraie responsable de ces trajets de clandestins.

Elle lui proposa une place de passeur qu’il accepta, car il venait de Sicile et qu’il était blanc.

Cependant, Salvatore Piracci repensa à cette femme qui avait payé une fortune pour elle et son fils, ce ne fut donc qu’un prétexte pour fuir ce pays.

Il acheta alors un billet de « Taxis-Bus »pour aller à Ghardaï.

Il allait là-bas pour fuir la reine et ses horribles arnaques aux clandestins.

Il fit une grande partie du chemin puis se fit éjecter de la voiture par le chauffeur car il n’avait pas assez d’argent pour continuer le voyage.

Il se retrouva dans un tel désespoir car il n’avait plus rien, ni même d’argent.

Alors il voulut se suicider en se faisant bruler avec de l’essence.

Mais il ne réussit qu’à s’évanouir,. »