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Durant la période du XVIIIème siècle, le néoclassicisme fait place à un nouveau mouvement littéralementopposé à celui-ci : le romantisme.

Publié le 18/05/2020

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« Durant la période du XVIIIème siècle, le néoclassicisme fait place à un nouveau mouvement littéralement opposé à celui-ci : le romantisme.

Les auteurs romantiques excluent la tradition classique du XVIIème siècle fondée sur la raison et la mesure, et privilégient le lyrisme et les émotions du moi c’est à dire l’expression des sentiments.

Le personnage romanesque n’est donc autre qu’un être de papier qui est isolé, malheureux, incompris et dont l’auteur a pour but de le rendre le plus réel possible afin qu’il reflète les malaises d’un milieu, d’une société, d’une époque.

Le héros romanesque du romantisme est caractérisé par ses tourments, ses souffrances et ses sentiments amoureux.

Par conséquent, on peut se demander si le personnage de roman peut se concevoir sans souffrance ni désillusion.

Le personnage peut -il imaginer mettre de côté son infortune ou est-il obligé d’endurer ses tourments.

Pour cela, nous verrons dans un premier temps que le personnage de roman peut percevoir l’idée d’échapper à la malchance, puis dans un second temps que généralement le personnage est mis face à la souffrance et dans un dernier temps, nous exposerons les différents aspect du personnage romanesque ainsi que sa capacité à captiver le lecteur.

Pour commencer, le personnage de roman a la possibilité d’échapper au malheur de par son insensibilité et son impassibilité.

En effet bien avant le mouvement du romantisme, dans la période du Moyen -Âge, les personnages de romans étaient des chevaliers dont les récits épiques relataient leurs quêtes, leurs exploits et leur courage.

L’expression des sentiments était inexistante dans ce monde violent et brutal, sauf quand il s’agissait de gagner l'amour d'une dame.

On peut le remarquer par exemple dans Perceval de Chrétien de Troyes qui nous rapporte les aventures d’un jeune chevalier nommé Perceval dans la quête du Saint-Graal. Dans ce récit le héros accomplit des exploits chevaleresques non pas dans le but de gagner l'amour d'une dame mais pour servir la cause de son roi.

Dans ce cas ci les personnages ne montrent pas leur souffrance ni leur désillusion mais leur courage et leurs valeurs, ce qui n’a pas empêché le succès de ce roman de chevalerie. De plus le personnage de roman peut éprouver d’autres sentiments que ceux de la tristesse, autrement ce dernier en deviendrai fade, terne, insipide.

En réalité le personnage étant dans une constante souffrance et désillusion peut être perçu au fur et à mesure de l’histoire comme inintéressant du fait de sa lassitude et sa constante monotonie.

C’est pour cela qu’il est important que le personnage de roman puisse aussi éprouver de la joie pour ainsi contraster avec la souffrance ou encore la méchanceté.

On le constate effectivement dans Les Misérables de Victor Hugo : les. »

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