coupleur.
Publié le 07/12/2021
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coupleur. n.m., organe de transmission d'un mouvement de rotation jouant le
rôle d'un embrayage non commandé. Un embrayage classique associe rigidement
l'arbre moteur et l'arbre récepteur et n'assure un patinage (obligatoirement bref) ou une
déconnexion que sous l'action d'une commande externe. Un coupleur peut absorber
sans choc, par glissement spontané, une discontinuité de couple (à l'occasion d'un
changement de vitesse par exemple) et se déconnecter de lui-même à basse vitesse,
permettant notamment l'arrêt d'un véhicule dont le moteur tourne toujours au ralenti.
Un coupleur hydraulique comporte une roue de pompe et une roue de turbine
adjacente dans un même carter rempli d'huile. Son seul défaut est de gaspiller en
permanence un peu d'énergie par glissement.
Les coupleurs à poudre associent une roue motrice, ondulée radialement, à un
carter tournant qui l'entoure, par centrifugation de poudre métallique. Il ne glisse pas en
marche normale, absorbe moins bien que le précédent les discontinuités de couple et ne
peut supporter de passer fréquemment en phases de glissement.
Les coupleurs électromagnétiques et centrifuges sont, en fait, des embrayages
automatiques ou commandés et ne présentent pas les qualités des vrais coupleurs.
coupleur. n.m., organe de transmission d'un mouvement de rotation jouant le
rôle d'un embrayage non commandé. Un embrayage classique associe rigidement
l'arbre moteur et l'arbre récepteur et n'assure un patinage (obligatoirement bref) ou une
déconnexion que sous l'action d'une commande externe. Un coupleur peut absorber
sans choc, par glissement spontané, une discontinuité de couple (à l'occasion d'un
changement de vitesse par exemple) et se déconnecter de lui-même à basse vitesse,
permettant notamment l'arrêt d'un véhicule dont le moteur tourne toujours au ralenti.
Un coupleur hydraulique comporte une roue de pompe et une roue de turbine
adjacente dans un même carter rempli d'huile. Son seul défaut est de gaspiller en
permanence un peu d'énergie par glissement.
Les coupleurs à poudre associent une roue motrice, ondulée radialement, à un
carter tournant qui l'entoure, par centrifugation de poudre métallique. Il ne glisse pas en
marche normale, absorbe moins bien que le précédent les discontinuités de couple et ne
peut supporter de passer fréquemment en phases de glissement.
Les coupleurs électromagnétiques et centrifuges sont, en fait, des embrayages
automatiques ou commandés et ne présentent pas les qualités des vrais coupleurs.
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