Corrigé Guerre et tentatives de paix au Moyen Orient depuis 1948 : pourquoi les conflits ici ne semblent-ils déboucher que sur des paix négatives ?

« Corrigé Guerre et tentatives de paix au Moyen Orient depuis 1948 : pourquoi les conflits ici ne semblent-ils déboucher que sur des paix négatives ? Objet cclsif : donc les intros et ccl sont longues puisqu’on réinvestit les notions de la totalité du thème ( guerre et paix) sur un exemple particulier, ici le MO Intro : on définit tous les termes pour présenter le sujet ( mais à organiser) Guerre : on a ici des conflits inter et intra étatiques, asymétriques et dissymétriques ( coalitions), on y expérimente les nouvelles formes de guerre ( « brouillard de la guerre » contre le terrorisme djihadiste , privatisation ( black water), drones, cyberguerre ( services secrets israéliens du Mossad) Tentatives de paix : échec de la sécurité collective ( ONU (paix de droit international), comme de l’hyperpuissance états-unienne ( paix d’hégémonie : pax americana en réference à pax romana ou pax britannica), échec paix d’équilibre ( Guerre Froide, cf Crise de Suez ou Afghanistan envahi en 79 par l’URSS).Voir tableau. Moyen Orient : berceau des monothéismes, carrefour stratégique (des antiques routes de la soie au canal de Suez), mosaïque de peuples ( dont certains sans Etat : Kurdes et Palestiniens) et de civilisations successives ( Perses, empire romain et empires musulmans médievaux,empire ottoman, mandats européens de la SDN), Etats jeunes donc fragiles , eldorado pétrolier qui aiguise les appétits des puissances extérieures, stress hydrique dans un contexte de boom démographique et de réchauffement climatique : le MO a tout pour être une poudrière ! 1948 : création unilatérale d’ Israël sur la moitié de l’ancien mandat de la SDN en Palestine.

Depuis , le sort des Palestiniens est LE casus belli moyen-oriental. Paix négatives : armistices ou cessez-le-feu sans avoir résolu les raisons des conflits. Pbmatique à reprendre dans le sujet annonce du plan I) Les conflits liés à Israël : un insoluble casus belli ? A) Les deux premières guerres israélo-arabes et l’échec de l’ONU ( résolution 242, sort des réfugiés palestiniens), dvper ici Jerusalem ville triplement sainte et enjeux religieux B) Le tournant américain: la crise de Suez ( enjeu de carrefour stratégique) où MO devient enjeu de la GF, la guerre du Kippour, le choc pétrolier,les accords de Camp David ; enjeux nationalistes sous influence des puissances étrangères C) Les Intifadas :conflits civils asymétriques, espoir paix durable avec Accords d’Oslo puis USA versus ONU depuis la 2° Intifada, djihadisme du Hamas.

Enjeu hydrique possible ici autour des eaux du Jourdain ... Cette première partie se prête particulièrement bien à placer une analyse des types de guerre au fur et à mesure que vous décrivez les conflits liés à Israël(conflits de 3° et 4° générations, dis/asymétrie, armes et acteurs conventionnels ou non,inter ou intra-étatique, privatisation, brouillard de la guerre etc...et bien sur « continuation de la politique par d’autres moyens ») même si la pbmatique pousse à privilégier les notions liées à la paix ( sécu collective, paix impériale, paix d’équilibre ,uni/multilatéralisme, OMP de l’ONU, peace et state building, droit d’ingérence et responsabilité de protéger) et pour cela la 2° partie s’y prête parfaitement.... »