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Comte Arthur de Gobineau1816-1882L'un des plus hauts et des plus fermes esprits du siècle, la gloire lui est venue bien tard :Vapereau attend jusqu'à 1880 pour lui consacrer une chétive notice.

Publié le 23/05/2020

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« Comte Arthur de Gobineau 1816-1882 L'un des plus hauts et des plus fermes esprits du siècle, la gloire lui est venue bien tard : Vapereau attend jusqu'à 1880 pour lui consacrer une chétive notice.

L'Allemagne, qui trop longtemps sembla l'avoir annexé, pour ce que ses idées pouvaient, moyennant d'opportunes sophistications, offrir aux théories raciales l'aura détestablement desservi.

Après une jeunesse pauvre, diplomate à Francfort, à Berne, à Téhéran, à Athènes, à Rio de Janeiro, à Stockholm, foncièrement cosmopolite, il a dans un style sans apprêt, où fulgurent parfois d'étranges beautés, exprimé les vues d'une intelligence supérieure, indépendante et désintéressée.

Ses principaux essais et ouvrages philosophiques sont : l' Essai sur l'inégalité des races humaines (1853-1855), Voyage à Terre-Neuve (1861), les Religions et les philosophies dans l'Asie centrale (1865), Mémoire sur diverses manifestations de la vie individuelle (paru d'abord en allemand, 1868 ; en français, en 1935), Histoire des Perses d'après les auteurs orientaux (1869), la Renaissance (1877), Histoire d'Ottar Jarl, pirate norvégien (1879).

Ses romans demeurent peut-être la partie la plus méconnue de son œ uvre : le Prisonnier chanceux (1847), les Aventures de Nicolas Belavoir (1847), Ternove (1848), l'Abbaye de Typhaines (1867) ; Souvenirs de voyage (1872), comprenant le Mouchoir rouge, Akrivie Phrangopoulo et la Chasse au caribou, les Pléiades (1874), Nouvelles asiatiques (1876), Adélaïde (1914), Mademoiselle Irnois (1920), Scaramouche (1922).

Il a laissé aussi des poésies, l'Aphroessa (1869), Amadis (1876) et une importante correspondance dont on n'a encore publié que ses Lettres à Tocqueville (1909), Lettres à deux Athéniennes (1936) et Lettres persanes (1952).. »

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