Commentaire Michel Houellebecq "La carte ou le Territoire"

« Commentaire de texte Michel Houellebecq est un écrivain français poète, essayiste, romancier du XXIe siècle, il est l'un des auteurs contemporains de langue française les plus vendus et traduits à l'étranger, ainsi dans le roman La carte ou le territoire publié en 2010 primée du prix Goncourt , l’auteur nous propose une description d’un artiste/photographe (jed) et d’un supérieur en service de communication de Michelin France sous l’objet d’un dialogue. Nous analyseront comment l’auteur met-il en relations deux univers complètement différents, nous étudierons le point de vue de l’artiste et celui du commerciale et nous examinerons la résultance de cette conversation. Le dialogue de cette extrait est l’occasion pour l’auteur de mettre en relation c’est deux univers complètements différents en effet Houellebecq décrit le commerciale comme quelqu’un de confiant comme on le voit à la ligne 2 : « J’avais confiance...j’ai toujours eu confiance », mais aussi comme une personne énergique avec l’utilisation d’une métaphore : « Une imitation de Tarzan », mais également comme l’indique les phrases « il agita ses bras » où encore l’utilisation d’un ponctuation prononcer , et de verbes comme « s’exclama t-il » en sont un bon exemple. Le champs lexicale du sport composé des mots : passes, rudby, team attire l’attention du lecteur sur cette énergie. Toutes ces expressions marquent l’enthousiasme et l’énergie du commerciale. Le portrait du commerciale permet également de mettre en évidence sa tristesse face à la perte commerciales , perte d’argent, comme le montre le passage où le commerciale parle des anciennes cartes Michelin qui ont étaient pilonner car elles n’avaient pas d’acheteurs, la narration dit que le commerciale parle de cella en étant funèbre : « ajouta-t-il funèbre », on note alors sont désole-ment et son côté terre à terre. De la ligne 30 à 42 nous avons un scène qui présente toutes les caractéristiques d’un personne qui se contre dit , en effet le commerciale dit ne pas se mêler à l’indépendance de l’artiste : « il est hors de questions pour nous de paraître aliéner votre indépendance artistique », mais il veux faire tout le contraire en proposant de crée un site internet à l’artiste afin de vendre ses œuvres, mais le commerciale s’occupera de la logistique ainsi que de l’expédition, cela témoigne donc la contradiction de l’homme d’affaire. Il ne s’agit pas seulement du portait d’un commerciale mais aussi du portait de Jed l’artiste, que l’auteur à volontairement effacer de la conversation trop matérialiste alors qu’il s’agit du personnage principale du roman, en effet Jed intervient très peu dans ce dialogue avec des phrases courtes, déclarative, et claire avec aucune question possible à ses réponses, comme par exemple : « je suis d’accord », « je n’ai pas de galeries », l’auteur veux montré que l’artiste n’a aucune sensibilité commerciale et que tout autour de lui paraît artistique, que s’est sa préoccupation principale, il vient de signer un gros contrat sans doute le plus gros de sa carrière, mais pourtant dès que Jed rentre, il contemple le bleu du ciel, « bleu hivernal splendide », « bleu phtalocyanine », la seule référence au commerce est une vue sur l’arche de la Défense, qui se situe au quartier d’affaire à Paris, qui reste un œuvre artistique. On constate en fin d’analyse que l’auteur se moque de l’emprise qu’a un commerciale sur un artiste, qu’il caricature d’un façon extrême ces deux milieux complètement différents, ce texte semble donc d’énoncer la façon de faire des commerciales et des artistes avec ironie.

La résultante de ce dialogue est que le commerciale est enchantés et artiste également car il veux continué a faire ses œuvres sans se soucier de l’aspect commerciale ce contrat est donc gagnant gagnant .. »