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Commentaire les cloches

Publié le 19/01/2022

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« « Les Cloches », est un poème composé et publié par Guillaume Apollinaire, il fut écrit en 1902 et publié en 1905 avant la publication du recueil Alcools en 1913.

Ce poème relate la période dite « rhénane » d’Apollinaire qui renvoie à son voyage dans la région de la Rhénanie en Allemagne, inspirant le titre de la section Rhénanes.

En Rhénanie, Apollinaire devient amoureux de la gouvernante anglaise, Annie Playden.

Cette section fut donc rédigée après une déception amoureuse du poète.

Ce recueil fait aussi référence à l’inspiration engendrée par l’ivresse.

Apollinaire utilise une forme fixe, quatre quatrains en octosyllabe en rimes croisées et riches.

Ce rythme peut être confondu à celui d’une chanson par l’énumération des prénoms : « Cyprien et Henri”, “Marie Ursule et Catherine ». Apollinaire dans ce poème évoque un amour impossible entre lui et une femme dans lequel il personnifie des cloches à des humains.

Ses éléments nous montrent une évolution culturelle et artistique de son temps mais une dégradation de la société. Nous nous demanderons comment le poème nous prépare vers un échec amoureux du poète. Pour répondre à cette problématique, dans un premier temps, nous aborderons comment Apollinaire décrit cet amour impossible.

Dans un deuxième temps, nous traiterons un échec amoureux qui entraîne le désir de mort d’Apollinaire thème commun au lyrisme traditionnel. D’une part, dans la première partie du poème soit les deux premiers quatrains, Apollinaire nous décrit un amour impossible entre lui et une femme. Cet amour est maintenu en secret de la part d’Apollinaire de plus il sait que cet amour est impossible par l’acceptation du village puisqu’il est gitan et qu’il ne soit pas bien vu par la société de l’époque et en plus critiqué.

Nous remarquons une répétition dans le premier vers des qualificatifs « Mon beau », « mon amant » ainsi qu'une répétition du déterminant « mon ». Par ailleurs, dans le troisième vers, nous trouvons une hyperbole « nous aimons éperdument » (l3).

Nous analysons que dans le deuxième quatrain les cloches sont personnifiées puisqu’elles ne peuvent dire rien à personne. Elles ont une valeur humaine, elles transmettent tout au peuple.

Apollinaire utilise l’imparfait « aimions et étions » (l3 et 5) pour donner une valeur descriptive de la situation et le présent simple « écoute, sonnent, disent » (l2,8) pour raconter un évènement qui se déroule au moment où Apollinaire le raconte c’est-à-dire le présent de narration. En outre, dans les deux derniers quatrains, Apollinaire nous montre les effets de cet amour impossible donc sa frustration.

Avec cette dernière partie Apollinaire veut intervenir ses sentiments de mélancolie notamment au lecteur.

Dans le troisième quatrain nous y trouvons une énumération de noms « Cyprien et Henri », « Ursule et Catherine », « la boulangère et son mari », «. »

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