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Catherine.

Publié le 07/12/2021

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Catherine. nom de plusieurs souveraines.
ANGLETERRE.
Catherine d'Aragon,
1485-1536, née à Alcalá de Henares, reine d'Angleterre de 1509 à 1533, première
femme d'Henry VIII, mère de Marie Tudor. Mariée à Henry VIII, en 1509, elle fut
répudiée, en 1533, et ce divorce, maintenu malgré l'opposition de Rome, fut une des
causes du schisme d'Angleterre.
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Les corrélats
Acte de suprématie
Anne Boleyn
Campeggi Laurent
Clément - Clément VII
Cranmer Thomas
Marie - ANGLETERRE - Marie Ire Tudor
Les livres
Henry VIII - Catherine d'Aragon, page 2340, volume 5

Catherine Howard,
1522-1542, reine d'Angleterre de 1540 à 1542, cinquième femme d'Henry VIII.
Convaincue d'adultère, deux ans après son mariage, elle fut décapitée.
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Les corrélats
Howard - Howard Catherine
Les livres
Henry VIII - Catherine Howard, page 2340, volume 5

Catherine Parr,
1512-1548, née au château de Kendal (Westmorland), reine d'Angleterre de 1543 à
1547, sixième femme d'Henri VIII ; à la mort de celui-ci (1547), elle épousa sir Thomas
Seymour.
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Les corrélats
Henri - ANGLETERRE - Henry VIII
Les livres
Henry VIII - Catherine Parr, page 2340, volume 5
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Les corrélats
Henri - ANGLETERRE - Henry VIII

FRANCE.
Catherine de Médicis,
1519-1589, née à Florence, reine de France. Fille de Laurent II de Médicis et élevée à
Rome, elle représentait l'archétype de la princesse italienne humaniste et cultivée.

Mariée très jeune au duc d'Orléans, fils de François Ier , elle devint reine de France en
1547 lorsque son époux accéda au trône sous le nom d'Henri II. Mère de dix enfants,
dont trois rois (François II, Charles IX et Henri III) et deux reines (Élisabeth, femme de
Philippe II d'Espagne, et Marguerite, femme d'Henri IV), elle eut d'abord un rôle très
effacé et fut éclipsée par la favorite du roi, Diane de Poitiers. Mais à la mort d'Henri II en
1559 et de son fils François II l'année suivante, elle devint régente du royaume. Dès
lors, et jusqu'au règne d'Henri III, elle exerça la réalité du pouvoir.
Malgré son attachement au catholicisme, Catherine de Médicis mena une politique
modérée à l'égard des protestants et, soucieuse de l'intérêt de l'État, elle chercha à
placer la couronne au-dessus des factions religieuses et nobiliaires. Avec le chancelier
Michel de L'Hospital, elle organisa en 1561 le colloque de Poissy entre théologiens
catholiques et protestants, et imposa en janvier 1562 le premier édit de tolérance.
Après la première guerre de Religion, en 1563, elle entreprit un tour de France avec
Charles IX afin de faire connaître le nouveau souverain et rétablir son autorité. En 1570,
elle prépara le mariage de sa fille Marguerite avec Henri de Navarre, pensant assurer
ainsi le ralliement des protestants. Mais devant l'importance que prit à la cour l'amiral
Gaspard de Coligny, chef des huguenots, qui tentait d'entraîner le royaume dans une
guerre contre l'Espagne, elle décida d'éliminer les protestants : ce fut le massacre de la
Saint-Barthélemy, dans la nuit du 23 au 24 août 1572. Entraînée alors dans le camp
catholique, elle vit son influence diminuer après l'avènement d'Henri III et se retira au
château de Blois.
Catherine de Médicis joua un rôle déterminant dans l'introduction de la culture
italienne en France, appelant près d'elle de nombreux Italiens comme l'astrologue
Cosimo Ruggieri, des banquiers florentins et des artistes. Elle contribua à civiliser les
moeurs de la cour (introduction de la fourchette) et fit entreprendre une vaste
réorganisation du Louvre et des Tuileries. Reine et régente étrangère d'un royaume
déchiré, elle fut victime d'une sombre légende. Détestée par les deux camps et
surnommée la « veuve noire «, elle fut rendue responsable de la Saint-Barthélemy.
Pourtant, Catherine de Médicis manifesta son double attachement à la monarchie
française et à la culture humaniste italienne en choisissant de se faire inhumer dans la
nécropole royale de Saint-Denis, dans un tombeau commandé au peintre italien
Primatice et au sculpteur français Germain Pilon.
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Les corrélats
Amboise
Bullant Jehan
Carmes (couvent des)
Champaigne (Philippe de)
Charles - FRANCE - Charles IX
Chaumont-sur-Loire
Chenonceaux
Diane de Poitiers
Élisabeth - ESPAGNE - Élisabeth de France
France - Histoire - La construction de la France (1285-1661) - Des guerres de
Religion à la pacification (1559-1610)
François - FRANCE - François II
Henri - FRANCE - Henri II
Henri - FRANCE - Henri III
L'Hospital (Michel de)
Louvre
Marguerite - FRANCE - Marguerite de Valois
Nostradamus (Michel de Notre-Dame ou Nostre-Dame, dit)
Orléans
Palissy Bernard
Paris - Histoire - Paris, ville des rois et des révolutions
Pilon Germain
Poissy

Religion (guerres de)
Ruggieri Cosimo
Saint-Barthélemy (massacre de la)
Tuileries (les)
Wassy
Les livres
Catherine de Médicis, page 901, volume 2
France - le Massacre de la Saint Barthélemy, page 2009, volume 4

RUSSIE.
Catherine Ire,
1684-1727, née à Malbork, impératrice de Russie de 1725 à 1727, seconde femme du
tsar Pierre le Grand, auquel elle succéda. Au cours des deux années de son règne, elle
laissa le prince Menchikov dominer le gouvernement, et elle instaura un Conseil suprême
secret dont fut membre son favori. À la mort de Catherine, ce dernier occupa la
régence, en tant que tuteur du nouveau tsar Pierre II.
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Les corrélats
Menchikov - Menchikov Aleksandr Danilovitch
Russie - Histoire - La Russie impériale (XVIIIe siècle)
Les médias
Russie - princes et tsars de l'ancienne Russie
Romanov

Catherine II la Grande,
1729-1796, née à Stettin, impératrice de Russie de 1762 à 1796. Princesse allemande,
Sophie d'Anhalt-Zerbst épousa en 1745 le grand-duc Pierre, neveu et successeur de la
tsarine Élisabeth. À la cour de Russie, Sophie prit le nom de Catherine, embrassa la foi
orthodoxe, apprit la langue, l'histoire, la culture russes, contrairement à Pierre, grand
admirateur de la Prusse de Frédéric II. Dans sa vie privée, Catherine s'entoura très vite
de favoris parmi lesquels figurent le prince Potemkine et Stanislas Poniatowski. Ce fut
d'ailleurs avec le concours d'un de ses amants, Grégoire Orlov, qu'elle prit le pouvoir en
juillet 1762, obligeant son époux à abdiquer, alors qu'il venait d'accéder au trône sous le
nom de Pierre III. Il fut assassiné peu de temps après.
Catherine la Grande doit son surnom à une personnalité exceptionnelle conjuguant
ambition et curiosité, ainsi qu'à son prestige auprès de ses contemporains étrangers,
notamment les « philosophes des Lumières « comme Voltaire, Diderot et d'Alembert.
Mais elle tenta en vain d'adapter à la réalité russe les idéaux de cette philosophie dont
elle était imprégnée. En 1767, elle convoqua la Grande Commission, chargée de codifier
les rapports entre les différentes couches sociales de la population russe. Ni les serfs ni
le clergé n'ayant été invités à y siéger, cette commission eut pour seul effet de mettre
en évidence les antagonismes entre les nobles et les paysans. Ces derniers se
révoltèrent en 1773 : ils furent menés par le cosaque Pougatchev et rejoints par une
partie du monde ouvrier. Après avoir mis fin à cette jacquerie et dans la crainte d'une
récidive, Catherine II renforça son pouvoir par une réorganisation administrative et un
rapprochement avec la noblesse. Celle-ci obtint de nouveaux privilèges aux dépens des
serfs, dont le statut se déprécia ; le servage gagna de nouvelles régions, touchant 50 %
de la population. Face à cette situation féodale, la politique sociale et culturelle que
Catherine, en despote « éclairé «, réservait aux privilégiés, offrait un étonnant
contraste.
Secondée en politique extérieure par son ministre, Panine, Catherine II gagna deux
guerres contre la Turquie, la première en 1774 et la seconde en 1791. Annexée en
1783, la Crimée réorganisée par Potemkine devint la « Nouvelle Russie «, tandis que

l'Empire russe s'affirmait comme le protecteur des chrétiens d'Orient. Outre une guerre
russo-suédoise (1788-1790) à l'issue de laquelle Gustave III obtint les réformes qu'il
souhaitait, le règne de Catherine II fut marqué par les partages de la Pologne, où régnait
Stanislas II (le prince Poniatowski), qui avait été élu roi en 1764 grâce à l'appui de
l'impératrice. Par les trois partages effectués de concert avec la Prusse et l'Autriche pour
le premier (1772) et le troisième (1795), et seulement avec la Prusse pour le deuxième
(1793), la Russie agrandit son territoire de la Lituanie à l'Ukraine, annexant et occupant
un grand nombre de provinces polonaises. Indignée par la Révolution française,
Catherine II rompit ses liens avec la France après l'exécution de Louis XVI en 1793. À la
mort de l'impératrice, trois ans plus tard, la Russie était au faîte de sa puissance, mais
bridée à l'intérieur par des années de despotisme. Le fils de Catherine II, Paul Ier , lui
succéda.
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Les corrélats
Ermitage (musée de l')
Grèce - Histoire - De l'Empire byzantin à l'Empire ottoman
Lumières (philosophie des) - Morale et politique
Mustafa - Mustafa III
Odessa
Orlov (Grigori Grigorievitch, comte)
Pierre - RUSSIE - Pierre III Fedorovitch de Holstein-Gottorp
Pologne - Histoire - Du déclin aux partages de la Pologne
Potemkine Grigori Aleksandrovitch
Pougatchev Iemelian Ivanovitch
Russie - Arts - Littérature - Introduction
Russie - Histoire - La Russie impériale (XVIIIe siècle)
Stanislas - Stanislas II Auguste Poniatowski
Vallin de La Mothe Jean-Baptiste Michel
Les médias
Russie - princes et tsars de l'ancienne Russie
Romanov
Les livres
Catherine II la Grande, page 902, volume 2
Lumières (philosophie des) - Catherine II de Russie, page 2939, volume 6
Russie - Catherine II, page 4537, volume 8

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